Que
les yeux cessent de courir, de la cascade à ce sommet
De
cette trouée dans la grisaille, à ce papillon
Qui
vient sécher ses ailes si près.
Les
yeux se posent là, sans effort, ils savent la bonne distance
La
bouche se tait, mais aussi le bavardage intérieur s’apaise.
Cet
espace qui s’ouvre devant soi
Redresse le corps qui avance
léger comme l’air, sans friction.
On
est rentré deux fois en soi, plus profond
Là
commence l’attention, la véritable attention.
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