Le
seul recours, à l'éclatement de son être et du drame
Qui
s'en suit, est, Aimer.
Aimer
ne peut vouloir qu'une seule chose
Libérer
(de sa propre folie) ceux que l'on prétend aimer.
Marcher dans la nuit, le cœur éveillé
Cet
éveil du cœur qui précède
Apparition
de la lumière au cœur de la pierre vivante.
Alors c'en est fini de l'auto-apitoiement et de sa face hideuse
Nos
enfants à naître ne connaîtront plus rien
De
cette errance qui fait confondre la mort
Avec
une fin de non-recevoir. Mourir est le chemin.
Igor Oleynikov
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