La
montagne, dans son voile de lumière
Les
verts, du clair au plus foncé
La
roche à nue dans sa dentelle d’ocres
Sous
cette cloche, les chants
Oiseaux
en couleurs, et même
Ce
curieux martin
Né
sans plume sur la tête.
Dans
cette bulle
Les
parfums communiquent
Dans
ce vent, imperceptible
Qui
parfois prend corps
Se
jette dans le vide
Rencontre
toutes les effluves.
Plus
rien pour trahir mon absence
Plus
rien pour me faire exister, malgré moi.
Frémissement
pris dans le souffle
Cela
s’ouvre, palpite, gémit doucement
S’évanouit...
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