La
mère crocodile
Parle
doucement
Avec
ses petits encoquillés.
Nourris
de l’œuf
Les
voici, un instant, prisonniers
De
cette peau protectrice.
Au
bain, elle s’affaire
Lorsqu’elle
entend...
Elle
se précipite
Sa
lourde queue
Dodeline.
La
voici, au dessus du nid
Qui
creuse
Un
à un, elle les prend
Dans
sa puissante gueule
Les
porte jusqu’au bras de rivière
Servant
de pouponnière.
Bientôt,
la saison sèche
Alors
elle brisera
De
sa lourde queue
Le
barrage de terre
Libre
chacun dans le flux
Du
grand fleuve.
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