D'avoir
marché avec ma mère
Elles
étaient deux, la petite et la grande
Entre
deux mondes
Ni
le jour qui ne venait pas
Ni
la nuit qui était déjà finie.
C'est
l'enfant qui était témoin de cela
La
mère tenait, tenait, il fallait tenir
Cela
ne laisse pas beaucoup d'espace.
Un
monde qui ne veut pas finir
Pour
qu'autre chose soit
Un
monde qui attend
Comme
on attend que le fruit mûr tombe au sol
Mais
ce fruit pourri ne peut pas tomber
En
lui ce qui le retient sur la branche morte
Système
qui s'auto-alimente par la répétition.
Vision... l'entre deux mondes existe vraiment !!!
RépondreSupprimerAh oui : il existe !!!
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