Si
nous étions assis près d’un feu
Sans
savoir comment l’allumer ce feu
Que la seule solution pour le garder ...
Et oh combien il nous est devenu indispensable ce feu !
Sûr, nous serions plus vaillant à veiller sur la flamme.
Mais voilà, nous sommes ceux qui ne connaissent plus la faim
La peur a grandi d’autant, c’est étrange…
Nous saurions ce qui est important
Plus qu’important, vital !
Et chaque instant de nos vies y serait consacré
Donnant
sens si vivant.
HENRYK PLOCIENNIK
C'est pourtant vrai ! la peur a grandi d'autant ...
RépondreSupprimerElle ne cesse de grandir, l'illusion de la sécurité !
SupprimerEt encore cette idée de repousser la mort loin, loin, là-bas...