Surfant
la vague de l'intensité
Et
l'on aura dit : douleur
Il
y a bien au bout de ce couloir
Une
porte qui s'ouvre
Et
c'est un glissement
Où
la sensation disparaît
Où
la conscience peut être encore
Voir,
entendre, dans un détachement
De
la forme qui dit plaisir et déplaisir
Pure
conscience.
Bien que le soi soit en tout temps et dans toutes choses,
RépondreSupprimeril ne peut brille nulle part, sauf dans la conscience,
tout comme une réflexion ne peut apparaître que sur une surface polie.
Connaissance du soi, Sankara.
Merci Sankara, merci Jasqueline :)))))
SupprimerPrésence en silence...
RépondreSupprimerOui..
SupprimerJe relis ces mots de toi
RépondreSupprimerIntérieurement la vision n'a pas de limite
Oh conscience vivante...
http://chou-genou-caillou.blogspot.com/2017/07/blog-post.html
Merci Mala :))
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