Avant
je guettais ce moment de ton réveil
Frémissement
en mon corps, si léger, si frais
Matins
printaniers.
Maintenant
je guette ce moment où tu t'endors...
Ce
n'est que, ce n'est pas... tu ne dors jamais !
Aucune
importance ce qui peut se dire
Qui
n'est pas de l'instant de vivre !
Je
couds avec ces fils de la nuit de là-bas et d'ici
D'aucun
territoire possédé
Je
ne les possède pas
Étoiles
filantes
D'un
ciel éclairé.
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