Là,
où je n'existe pas...
Il
vaut mieux disparaître
Que
d'être la cause de tant de mépris
Mais
aussi on peut accepter ces situations
Et toucher, "là où je n'existe pas".
C'est
une terre vierge
Une
terre sauvage
Où
aucun mot n'a encore été prononcé
Les
forces se rencontrent et c'est un mariage
A
chaque fois.
Ni
commencement, ni fin
Illusion
d'un commencement et d'une fin
Illusion
de l'achevé, de l'accompli.
Descendre
dans la vallée sans se presser
On
y sera toujours bien assez tôt
Rallonger
le chemin en passant par les vergers
Ceux d’antan où les abeilles butinaient
Et
les papillons et tous les insectes
Et
ce monde de la terre dans l'entrelacs des racines
Un
oiseau chante sur la branche
Le
voici sur cette autre branche
Personne
pour trouver à redire.
Il
n'y a que Voir, et c'est entendre et c'est frémir
Onde
bleue où se marient lumière blanche et lumière noire
Aucune
confondue à l'autre.
M'en revenant de guerre et cela fait allusion, si ce n'est le lien avec ton billet précédent !
RépondreSupprimerMerci mon amie.
Merci à toi, douce Mala
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