dimanche 27 décembre 2020

Souvenir, un jour là-bas ... A l’orée de la forêt

 

A l’orée de la forêt se reposer… écouter …
Peu importe tes propres limites inutile de faire des comparaisons, ce qui est important c’est voir ce qui se passe lorsque tu atteins les tiennes.
Tout se construit et se déconstruit, ici même.
Le soir où tu as entendu dans le vent, ton sac si léger, la marche une danse. Là où la force te sera donnée, va ! Et dans la fatigue, arrête-toi. Que prenne fin cette attitude entêtée qui dit : « marche ou crève ! », comme un vieux compte à régler.
N'en fais pas ton affaire, ce n'est ni une question de pardon, ni une question de réconciliation. Tu as appris de tes pères le mérite et le démérite, la récompense qui est la joie, la souffrance qui est la punition, vous en avez fait une loi avec laquelle vous ne cessez de tricher. C'est vrai tu ne triches pas, tu prends la peine, tu prends la joie, mais vois c'est encore ton affaire !

Elle regardait les verts des feuillages, y découvrait l'immobilité de l’air, dans la fraîcheur qui s’étendait la nuit venait sur le lac gris. « Tout cela est si paisible... » Le corps détendu semblait toucher le ciel, mais la tête regrettait ces histoires répétées. Elle se disait que cela mourrait au bout de son entêtement…

Pas bien compris encore... la vie qui est faite de moments contradictoires, où vient se murmurer le secret du chaos qui est ordre absolu. 



2 commentaires:

  1. Oui : "la vie qui est faite de moments contradictoires, où vient se murmurer le secret du chaos qui est ordre absolu. "

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