Il n'y a pas de changement sans souffrance, si rien ne me
dérange je ne change pas, je reste confortable dans un bain
agréable, suspension dans le vide. Quelque chose se présente qui
vient interpeller cet équilibre, résistance je ne veux pas quitter
cet état béni des dieux. La résistance ne fait qu'augmenter la
sensation désagréable qu'un extérieur cherche à s'imposer, à
pénétrer. S'il n'y a aucune résistance, je ne change pas non plus,
tout glisse sur moi, comme la goutte d'eau sur le plumage du cygne.
Mais
à vrai dire, qu'est-ce que « je » fais réellement ?
Mais
si ce «moi » n'est pas dans l'exploration de quelques réponses
à ce défi, il n'y a pas de changement non plus.
Le
changement ?
Ils
sont nombreux à le revendiquer, tout en le refusant.
Tout
change à chaque instant, et ce n'est pas continuité.
On
dira que rien n'existe qui ne change pas, et puis on verra que tout
meurt à chaque instant pour qu'autre chose soit.
Pas facile de laisser sa zone de confort car il faut se faire violence parfois.
RépondreSupprimerOui, tout cela participe !
SupprimerParfois juste un décalage, tout est là, le changement est réalisé, mais quelque chose retient encore dans d'anciennes habitudes !
RépondreSupprimerC'est vrai, peut-être même que c'est toujours ça !
Supprimer