Il y a dans cet état, ici nommé désespérance
Quelque chose d'absolument définitif
Dont on ne cherche ni à guérir, ni à se consoler
Surtout ne pas se plaindre.
Une
solitude d'une grande austérité qui ne retient rien.
Être au bout,
après, il n'y a plus d'après.
Alors dans ce mariage noir auquel on
ne résiste pas, il se passe autre chose...
Une
forme de détachement qui n'est pas indifférence
Juste qu'il n'y a
plus de différence entre ceci et cela
Juste l'intensité.
Quand cela survient, il faut se dire « j'ai manqué un virage quelque part », il y a trop de possibilités pour que l'on aboutisse dans une impasse. On laisse un peu de temps passer puis on revoit notre trajet, on reprend ensuite là où on a erré.
RépondreSupprimerC'est mon p'tit truc à moi.
:))) bon courage à vous Grande-Langue !
SupprimerSans petit-truc, ne pas se séparer !
Merci de votre passage ici.
Ah Miche, le penseur qui est cause cherche sans cesse des solutions au mal qu'il est à lui-même !
RépondreSupprimerC'est quelque chose !!
Oui ! Et l'on entraîne les enfants tout petit à ces "bonnes façons" de faire.
RépondreSupprimerAinsi le penseur déconnecté ne cesse de se renforcer.