Il
y a un travail en raison qui se fait, il est de la plus haute
importance
Vent qui secoue les branches que celles qui sont
pourries tombent
Ne restent que les branches saines, vivantes,
solidaires à l'arbre
A ce corps de racines en terre et au ciel.
Il
vibre la matière en ses profondeurs
Qu'elle donne le meilleur
d'elle-même
Elle n'a rien à lui refuser
Et rien ne se refuse, il
n'y a rien à refuser.
Pauvre
raison de s'être arrêtée à la forme identifiée
Confondant ainsi
le résultat avec le but
Le but avec la finalité
La pose avec
l'arrêt
La mort avec l'éternité.
Excellent !
RépondreSupprimerMerci Eric :)
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