J'avais
une petite amie
Je
ne sais comment elle avait atterri ici
En
ces terres tellement hostiles
La
nature sauvage n'a rien de romantique.
Je
l'ai sentie longtemps, je n'ai rien fait
Pour
la retenir, ici
Trop
de vents, de sécheresse, de torrents de boue
Pour
son gentil sourire.
Son
âme si belle, navigue des jardins parfumés et discrets
Parfois
elle touche ici, ou là
C'est
bien comme ça.
C'est
ça le vivre ensemble
Cet
ensemble où chaque élément est libre
Libre
parce que lui-même absolument.
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