Tu sais
fils, tout va bien
En même
temps que les forces s'abandonnent
Les
attachements fondent comme neige au soleil
Je ne
m'inquiète pas, tous nous passons
Et nous
avons le pouvoir de la non souffrance.
Comme un déploiement dans le vide.
Vincent Serbin
euh nous adient pourtant nos attachements même quand douloureux
RépondreSupprimerC'est pas ce qui se passe ici, chère Brigitte...
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