Il
y avait ce phénomène étrange, chaque matin
A
peu près à la même heure
Ce
coup de vent violent, soudain
Surgissant
entre les montagnes
S’emparant
des bosquets
Et
des longues branches des filaos
S’engouffrant
dans la maison
Claquant
la porte de la chambre
Celle
là, puisqu’elle est la seule.
Mais
là, cela durait, et peut être annonçait
Une
journée vouée au souffle des alizés.
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