J’ai
écrite mes plus belles pages
Sur cette feuille immense qu’est la plaine de Léon
Elles se sont envolées au vent piquant
Celui qui brûle de froid et de chaud.
Dans cet océan sans limite verdoie un serpent
Il ondule comme une grande vague calme
Il se perd à l’horizon dans le gris du ciel
Comme toute pensée et toute attente.
Sur cette feuille immense qu’est la plaine de Léon
Elles se sont envolées au vent piquant
Celui qui brûle de froid et de chaud.
Dans cet océan sans limite verdoie un serpent
Il ondule comme une grande vague calme
Il se perd à l’horizon dans le gris du ciel
Comme toute pensée et toute attente.