Ce chant...

 

Oh, mon petit moteur
Tu es là, en moi
Frémissant
Pur bonheur
Dans ce balancement...

Après ce chant, plus rien n'est pareil.

 

Alfred Eberling

 

 

... Là où rien ne se sépare... un état si beau...

L'idée de moi est si puissante

Que l'idée de l'autre est une mise en danger

Il n'y a rien à faire contre cela

Ce qui était du niveau des instincts

Au service du vivant

A pris forme dans un mental

Qui prétend échapper au vivant.

Il n'y a rien à faire "contre"

Mais tout contre, là où rien ne se sépare...

Ils sont deux au jaillissement

Ne cherchant pas à se consoler d'un état si beau.

Déjà publié ici

Balbusso Elena et Anna

Ohhh

Oh doux chant de mon amour

Quand le possessif

N'est que pour ouvrir les bras

De ce fleuve vivant

Sage et impétueux

Doux et si profond

Qui peut se tarir

Sans en trembler

Qui dans l'instant

Jaillit, source

Non née, ni à naître.

Déjà publié ici

Yang Guang