De la pression écologique de l'homme sur son territoire

 

Il n'y a qu'une façon pour l'homme de libérer la terre

La planète en sa nature

C'est de se libérer lui-même. 

 

Il n'y a pas de libération par le collectif, c'est en chacun. 

Merci Anna et Ariaga

Anna
Pensez-vous Miche qu'il faille être à la hauteur ? Qu'ainsi il y aurait des élus ?

Miche
Pour dire la hauteur d'une chose, d'un phénomène il faut un référentiel, lequel ?
Pour dire une bonne ou mauvaise hauteur, il faut encore décider d'une moyenne, laquelle ?
Des élus ?
Ils furent nombreux à être appelés, on n'a jamais compris pourquoi ils étaient si peu nombreux à l'arrivée...

Ariaga
J’adhère tout a fait. les lois, les bonnes intentions, tout cela ne suffit pas c'est l'homme qui doit changer et je crains que cela lui vienne à force de dures leçons.

Miche
Je ne pense que les "dures leçons" puissent permettre une libération... il y a déjà de dures leçons. 

 

 

Kohei Saito

 

 

Mais que regardent-ils ?

 

Je suis venue finir
Ce qu'ils avaient laissé en plan
Eux qui avaient tant de plans !

Les yeux ouverts du mort
Qui font si peur
Que regardent-ils ?

Quelle tristesse !

Nature et défenses

Bien entendu que la nature n'a pas besoin de nous pour se défendre.

Se défendre de qui ?

Nature est le nom de ce « tout est lié », sans commencement, ni fin. 

La nature Est, en des formes variées, en des formes qui ne cessent de changer.

Alors comment pourrions-nous la mettre en péril ?

Ce n'est que notre existence que nous engageons à mal, et le devenir de nos enfants à taper dans le mur.

Et l'enfant c'est toi, c'est moi, à venir, en des conditions rendues toujours plus accablantes de conditionnement, ployés sous le fardeau, à peine nés.

Donc ! 

 

Si nous avons à défendre la nature, c'est contre nous, rien d'autre !

Caitlin O’Connell and Tim Rodwell

Oh ma différence

Il est possible que l'être humain soit naturellement raciste, agressif, possessif, et que cela ne soit pas naturel du tout d'être porté à accepter l'autre dans sa différence, quelle qu'elle soit.

Un jour, j'ai découvert que dans ma famille on était raciste

« Ton bicot ! »

Cela parlait d'un correspondant algérien, avec qui j'entretenais par courrier une véritable relation depuis un long moment.

Il y avait les mots, il y avait le ton, il y avait les rires de la fratrie à table, et mon effroi, les bras m'en tombaient vraiment.

Déjà que cela n'était pas facile entre eux et moi, alors là...

Avant je pensais que c'était à cause de ce que j'étais, découvrir que c'était à cause de ce qu'ils étaient, ce qui est encore plus difficile à vivre.

Alors ?

Oui, accepter cet autre niveau de différence, mais pourquoi eux ne m'acceptent-ils pas ? 

 

Ce sont des assassins

Une haine crasseuse

Racisme, sexisme

Rires gras.

L'humain est la seule créature sur terre

Qui fait cela, en musique s'il vous plaît