Anne, ma soeur anne, ne vois-tu rien venir ?

Voilà la différence, toujours plus de conscience du créateur en nous.

Cela commence avec des mains sur les parois d'une grotte profonde

Et la gorge profonde, en le râle, en le chant

Les mains s'agitent dans le vide, et voici les cordes qui vibrent

Instruments de musique en tellement, tellement de possibles

Toujours plus de liberté et ce n'est pas que la liberté grandisse

Elle est ou elle n'est pas.

Comprends-tu ?

Ce n'était pas plus faux hier, et cela ne sera pas plus vrai demain

La justesse est pour l'accord à son propre instrument

Chaque instrument à son propre accord, unique.

De l'étiquette

Voilà, c'est ça !

Ils parlent de manque

Mais ce n'est pas ça

Et comme ils ont mis cette étiquette

C'est elle qui agit produisant une carence

Un mal-être

La maladie

La mort, peut-être. 

 

Déséquilibre créateur

Les potentialités s'équilibrent entre elles

Il faut une excitation

Qui produit un déséquilibre

Pour qu'il y ait création.

De l'illusion à la création

Voilà ce qui se fait  pour maintenir l'illusion de la continuité, pour apporter le confort d'une représentation une et inviolable, celle de la sécurité :

- Tenir à distance certaines informations qui sont là (toutes les informations sont-là), par l'emploi d'un vocabulaire restreint et répétitif, aussi par l'agencement de ce vocabulaire (tel mot avec tel autre).

- Qu'aucune image ne puisse se former en l'esprit. L'image signifie magie, la magie concerne l'être qui accède aux champs de la matrice supérieure. Pourquoi supérieure ? Parce que le politique/social est la matrice inférieure. 

Par l'inspire (le haut) celui-ci touche l'univers invisible (pure énergie, éther) qui redescend sur terre sous la forme d'une image.

La transmission se réalise par le transfert d'images d'un esprit à un autre esprit. C'est lumière... la lumière dans tes mots...