Il
faut que la femme soit niée jusque dans sa chair pour que la
violence puisse se déchaîner dans ses formes les plus cruelles et
perverses.
Pourquoi
la femme ?
La
mère, le ventre de la mère qui a porté, les seins de la mère qui
ont nourri, les bras de la mère qui ont consolé.
C'est
encore la maîtresse dans laquelle l'homme se glisse, et laisse
aller son plaisir.
Oui,
vraiment il faut que mère, sœur, épouse, amante soient
niées jusque dans la chair pour que la violence se déchaîne en
d'autant formes cruelles et perverses.