Alors
nous découvrirons
Où
nous étions sincères
Nus
sous le soleil
Où
nous ne l’étions plus
Nous
découvrirons
Que
ces moments de paix
Nous
étaient offerts
Adéquation
De
l’objet et de son mouvement
Nuages
blancs à flancs de montagne.
Alors
nous découvrirons
Où
nous étions sincères
Nus
sous le soleil
Où
nous ne l’étions plus
Nous
découvrirons
Que
ces moments de paix
Nous
étaient offerts
Adéquation
De
l’objet et de son mouvement
Nuages
blancs à flancs de montagne.
Nous avons été avec Maxime, faire cette promenade en haut de la montagne par le chemin rouge, il y avait un silence comme il y a longtemps que je n’avais perçu, comme un écho à autre chose, en ouverture !
Le soleil descendait, ici il se couche vite. Sur l’océan un voile de brume, mais le ciel était clair et les sommets étaient dégagés.
Nous avons décidé de rentrer, et brusquement derrière nous, une galopade de nuages surgis de nul part. En quelques secondes, nous étions encerclés par cette valse pressante, un ciel noir et chargé, nous poursuivant.
Le petit a pris peur, il disait « Les nuages se chargent de pluie ». Il ne comprenait pas ma joie devant ce spectacle si vivant de la nature.
Nous sommes arrivés juste à temps à la voiture, et l’enfant capricieux et malheureux de l’après midi avait disparu, il était là si doux, si gentil, prévenant, et me disant des choses douces.
Tellement authentique, touché, lui aussi, par l’intensité du vivant.