Dans
le pré, un cheval
Il
rue, hennit, vient frapper
De ses sabots, la tôle
Posée pour renforcer la clôture.
Un homme crie
Il prétend être le maître
Mais sa peur est perceptible.
Le cheval face à lui, tremblant de puissance
Le défie d’entrer en relation
Sans filet, sans mensonge.
Le pont n’est pas devant nous
Il est derrière nous…
Une autre façon éclatante de beauté.
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