Le
mensonge s’organise et qui pourrait prétendre
La
vérité ?
Il faudrait qu’elle soit un point fixe, immuable
Alors nous pourrions prétendre l’atteindre.
Il y a l’interdit décrété par les lois
La loi s’interprète par le juge
Et l’on joue de fausses preuves et de diffamations
Cela fait les erreurs judiciaires.
Et la rumeur grandit !
Il y a cette confusion des idéaux
Qui fait faible et rampant, au nom de la paix
Ou encore kamikazes, hommes-bombes
Se jetant dans la foule, au nom de dieu.
Le silence du cœur ne se dresse pas
Il fait taire les cris de vengeance.
Qui es-tu toi, pour juger ?
Avance,
il n’y a pas d’obstacle.