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samedi 11 juin 2016

Mensonge et vérité

Juste Voir, il suffit de Voir !
Mais le mensonge ne permet pas cela
Entre ceci et cela
Il n'est qu'empêchement.

Même ces mots, font peur
Pas envie d'entendre ce qu'ils disent
Qu'on ne veut pas entendre
Que l'on veut croire aux histoires !

Je n'ai jamais aimé les histoires
Non qu'en moi, réel et virtuel s'opposent
La frontière entre ces deux-là est si caressante
C'est le mensonge que j'ai toujours exécré.

Je sais que la vérité n'est pas un point fixe
Que l'on pourrait revendiquer, dresser à la face du monde
C'est donc un travail, VOIR
Qui n'a ni commencement, ni fin.

Caricature et personnages

Les dépendances, drogues, et l'alcool est une drogue, et nous voici devant une caricature de cette situation des personnages multiples, des voix qui se racontent des histoires et s'unissent pour en raconter "une" à un public. Jamais la même peut-être...
La caricature pousse à l’extrême des traits qui s'opposent, se rencontrent sans pouvoir se marier, se renforçant les uns les autres dans leur opposition jusqu'au pourrissement total de la situation.
Le témoin voit toute la scène, et les coulisses, et la salle toute entière, ceux qui ont pu entrer, ceux qui sont restés au-dehors, de leur propre volonté ou pas, le témoin voit tout cela, comme une caméra à têtes multiples il enregistre tout cela. 

Pourquoi ?
Une infinité de calculs.

dimanche 22 mai 2016

De la censure

La question, je l'ai trouvée pertinente :
"Ceux qui ont pris la Bastille étaient-ils des casseurs ?"
Pertinent et profonde...
Tous les 14 Juillet ne fêtons-nous pas la prise de la Bastille ?
L'hymne nationale que notre gouvernement a chanté en cœur lors des attentats de Paris n'est-il pas le chant des révolutionnaires qui se sont battus pour l'instauration de la république : liberté, égalité, fraternité ?
Censure !
La question a été censurée, par les services de l'état, à la manière policière sans aucune sommation, sans explication.
Cela en dit long, n'est-ce-pas ?
Sur la réalité sociolo-politico dans laquelle moutons noirs et moutons blancs avancent vers l'abattoir. 

Ce que "Je suis", et ce n'est pas Charlie
Vous ne l'aurez pas !
Et cette question est là :
Ceux qui ont pris la Bastille étaient-ils des casseurs ? 

 

mercredi 11 mai 2016

L'âge de pierre

Pourquoi pleures-tu ce qui ne meurt pas ?
Sur quoi pleures-tu ainsi ?
Une présence plus grande ?

Là où présence Est, il n'y a pas plus grand.

mardi 12 avril 2016

Courage !

"Je n'étais pas là, je n'ai rien vu !"
Faux !
Nous étions tous, là
Et tous, nous avons vu.

mercredi 20 janvier 2016

Système de pouvoir et mensonge

Les systèmes de pouvoir se maintiennent en place diffusant de fausses bonnes et mauvaises nouvelles. La stratégie est la suivante : que les esprits soient troublés et s'en remettent tout entier aux autorités. Regardez, disent-ils, nous sommes les seuls à pouvoir vous dire la Vérité. Nous parlons ici de faits concrets, d'une réalité du niveau : il a neigé, il n'a pas neigé.
Affolés les esprits se rendent à la grand messe, là on leur dit quoi penser et chacun de retourner vaquer à ses occupations, celles qui servent la grande machinerie qui empoisonne corps et esprit.

L'esprit libre n'attend rien de ce niveau d'information, il voit combien ce système repose sur le mensonge en ses tenants et ses aboutissants. 
 

vendredi 18 décembre 2015

Des confusions

Lorsque le mental égotisé traite de l'illusion, il y a "moi" et l'illusion. Ainsi on se retrouve à discuter de l'illusion du temps tout en prônant le devenir. Renoncement à la plus simple expression d'une réflexion menée avec rigueur qui fait dire : « le temps n'existe pas, mais moi, je deviens plus grand, plus fort, plus sage, de jour en jour. »
C'est comme croire qu'avec ses pensées dirigées par le désir de... (mon bonheur, ma réussite, etc.), il soit possible de créer le monde. « C'est une question de volonté ! ». Là, rions ensemble, la farce est tendue de fils si grossiers. Comment nos pensées, bloquées au niveau le plus bas de la conscience, suggérées par nos instincts vitaux, déformées par la cristallisation de l'ego, comment ce mental atrophié pourrait-il créer ?
Dans cette mare, ça patauge, ça remue les immondices des générations passées, en rajoute une couche, niveau de confusion toujours plus dense, rien à voir avec la question de l'illusion.

jeudi 24 septembre 2015

Des portes (3)

Je disais que je ne connais pas d'état stable, la continuité est du mensonge. Et c'est une chance ! Parce que celui qui resterait « derrière » la porte de l'extase et c'est possible par le processus de l'identification, celui-là n'est plus en mesure d'agir en ce monde. Il brûle...
Et celui qui resterait en le « lieu sans pitié » et c'est possible, celui-là causerait beaucoup de dégât dans son entourage.
La personne humaine n'a pas vocation à incarner un état en particulier, elle participe alors du mensonge de la continuité, des héros, des saints, des êtres exceptionnels qui rejettent hors de leur cercle le reste de l'humanité, indiquant des chemins qui n'en sont pas.
Il n'y a pas de vérité comme un point fixe qu'il nous faudrait atteindre, la vérité ne cesse de se créer à partir de la rencontre de deux forces opposées, et c'est magie du chant quantique, parce que, ce qui jaillit là est le toujours Nouveau.


lundi 12 janvier 2015

Mais de quoi se nourrit l'homme qui le rend si affreusement malade ?

Tout est information, chaque pensée, la forme que produit la pensée, le corps en chacune de ses cellules, l’énergie est information.

Quelles informations "la cité de l’homme égaré"  produit-elle ?
Un message de mort, le vivant se nourrissant de poisons, de mensonges, de confusions, de soumissions, de manipulations, un message dénaturé au plus haut point, issu de l'état de déconnexion en esprit.

*

 

vendredi 28 novembre 2014

Etre vivant

Être vivant ne met à l'abri de rien du tout, pourtant ce système si pervers donne à penser que cela ne nous concerne pas. D'autres vont faire pour nous, il suffit que nous soyons très obéissants, que nous répétions bien la leçon, critiquer c'est toujours possible, c'est même le bien venu, critiquer cela renforce l'idée qu'il ne peut pas en être autrement.
Finalement comme des enfants, des enfants contents ou pas contents, des enfants qu'on récompense ou qu'on punit, et force est de constater qu'il y a des punitions qu'on ne saurait tout à fait expliquer, mais ça ne fait rien tant que cela concerne l'autre ! Et quand cela nous concerne ?
Alors là, soyez en sûr, vous êtes abandonné de tous, c'est le grand plongeon, les fours crématoires, les camps, les famines, l'agonie, la torture.

Être vivant, ne vous en déplaise, c'est la vie à bras le corps, c'est la responsabilité, c'est une relation en direct sans intermédiaire dans la rencontre de l'autre, dans sa propre intimité et c'est bien là que logent l'hypocrisie, le manque de courage, la mauvaise foi, le mensonge.
Être vivant, c'est infiniment vivant et ne met à l'abri de rien du tout.

vendredi 21 novembre 2014

L'organisation du mensonge

Le mensonge s’organise et qui pourrait prétendre
La vérité ?
Il faudrait qu’elle soit un point fixe, immuable
Alors nous pourrions prétendre l’atteindre.
 
Il y a l’interdit décrété par les lois
La loi s’interprète par le juge
Et l’on joue de fausses preuves et de diffamations
Cela fait les erreurs judiciaires.
 
Et la rumeur grandit !
 
Il y a cette confusion des idéaux
Qui fait faible et rampant, au nom de la paix
Ou encore kamikazes, hommes-bombes
Se jetant dans la foule, au nom de dieu.
 
Le silence du cœur ne se dresse pas
Il fait taire les cris de vengeance.
 
Qui es-tu toi, pour juger ?
Avance, il n’y a pas d’obstacle.
 
 

lundi 13 octobre 2014

Et cet autre jour

Bien sûr, il y en a toujours eu des hurluberlus, des poètes, des amoureux, des enfants, des vieillards, des idiots, pour dire de toutes leurs forces que cela n'est pas possible, que la terre est vivante, et l'oiseau, et la branche, et les profondes racines, et le requin tout autant que le dauphin, que le vivant ne cesse d'inter-agir en un ordre parfait.
Les grands penseurs ceux, qui dans l'organisation en strates pyramidales de toutes sociétés humaines, sont chargés de justifier cette imposition de l'homme sur la nature n'ont jamais cessé de produire du discours pour maintenir le consensus. Il fut une époque où seul le philosophe faisait cela, maintenant ils sont si nombreux : politiques, psychiatres, médecins, sociologues, etc. sans oublier les hommes d'églises. Leurs discours si variés, ne font qu'un, même les divergences, les oppositions, les guerres, servent à produire du consensus.
 
"Comprendre" le consensus, voir sa puissance agir dans notre conditionnement, démasquer ses mensonges dans nos propres mensonges, ne se peut sans retrouver en soi le lien profond de l'interconnexion, source d'énergie agissante.
Sans ce lien, sans énergie, nous ne pouvons que la plainte, elle est partout savez-vous, la plainte aussi dans les congratulations, les gros mots, les pantomimes, les jeux télévisuels...
 


dimanche 12 octobre 2014

Cette question de la sincérité

Cette question jamais l'animal ne se la pose
L'animal ne peut pas le mensonge
Le mensonge est le propre de l'homme
Il n'y a pas lieu de le juger pour cela
C'est son défi de renouer à un autre niveau
Avec l'être.

Ce défi s'adresse à chacun de nous
Individuellement, impossible de contester cela
Impossible de s'en remettre à autrui pour cela.

Comme si le "tout" interpellait chaque partie
En aptitude de se reconnaître en tant que partie
Avec les risques que cela induit
Se prendre pour une entité séparée
Se perdre dans le non-sens de la séparation
Produire une infinité de voix hostiles
Se perdre dans la confusion de cette cohue.


vendredi 19 septembre 2014

Cela pré-existe... gratitude

Il en est même pour croire que l’amour est invention humaine !
Comme le Colomb qui aurait découvert l’Amérique
Comme si avant que l’on ne porte les yeux sur une chose
Elle n’existait pas
Et que si nous ne l’avions nommée, ce ne serait que chaos.
 
Alors on dira que "la mère a mis l’enfant au monde"
Mieux posséder cet enfant ! 
Mais en vérité tout l’univers participe
Et si cette femme, dans le travail de l’accouchement
Ne perçoit pas l'énergie créatrice en l'enfant, en elle
Se séparant
Plutôt que de surfer la vague, porter et se laisser porter
Ce n’est plus que douleurs, crispations, déchirures.
 
Alors, anesthésie,  acte chirurgical
Dépossession par l’autorité médicale 
Et toutes les autres autorités 
Dépossession du sacré du vivant 
Couper, stopper, la Circulation d'énergie.
 

mardi 26 août 2014

Tout est lié, ce n'est pas l'homme qui en décide.

Tout est lié, c'est la loi de causes à effets, ce que nous sommes produit ce monde où une espèce est sur le point de détruire les écosystèmes, réduisant les territoires des autres espèces au point qu'ils disparaissent, produisant des armes qui ont le pouvoir d'anéantir les équilibres de la planète.
Tout est lié, et ce monde des OGM, des engrais, des pesticides, des nanotechnologiques, des radiations produit ce que nous sommes jusque dans nos enfants à venir, etc.
 
C'est parfaitement ficelé. Les lois ? Les lois qui sont censées organiser tout ce commerce, limiter les appétits individuels et les comportements déviants ?
Allons cessons d'être dupes, cessons d'être comme cet enfant qui croyait naïvement que les grands ne pouvaient rien avoir à se reprocher, à avouer à confesse. Cessons de prétendre que les gouvernants, que les spécialistes, que les hommes d'églises, que les hommes médecines sont meilleurs que les autres ou encore que le peuple est souverain. Les organisations politiques que l'homme produit sont toutes perverties, la loi est un écran qui participe à la bonne image de nos sociétés, au conditionnement des masses, la loi est au service du plus fort, du plus rusé, du plus agressif dans la domination de ses frères.
 
C'est parfaitement ficelé. C'est l'histoire d'une démence, collective, n’épargnant personne, une démence qui grandit avec le nombre des habitants, avec les moyens techniques, avec le développement, l'allongement du temps de vie, etc.
 
La seule chose qui soit possible c'est Voir qu'il en est ainsi, Voir ce qui est. C'est acte de conscience.