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dimanche 17 avril 2022

De la confusion

 
La tête ! quand on constatera qu'il n'y a pas de mythe
Juste le souvenir d'un passé que nous croyons avoir oublié
Tous ces chemins alchimiques remis à plat
Ils appartiennent au passé
Un passé projeté comme un avenir.
 
Là, il nous faudra bien, voir que n'existe que l'instant présent
Que le passé et l'avenir, les deux tenant du temps psychologique
Ne sont que les signes d'une pathologie.
 
Et les mots et leur pouvoir mystificateur
Que personne ne les entend pareil
Et que c'est bien ce qui est recherché
Que règne la confusion !
 
Comment régner, si les gens se mettent à s'entendre
Et s'entendant, à se comprendre
Et se comprenant à faire ensemble ?
 
Mais voilà que chacun défend sa propre confusion
Comme une valeur fondamentale
La preuve de sa propre existence.


lundi 19 août 2019

Au nom de ...

Au nom de l'ordre produire autant de désordres
Au nom de la liberté produire autant de servitudes
Au nom de la paix produire autant de guerres
Au nom du progrès produire autant de destructions
Au nom de dieu, diviser les hommes.

On peut encore et encore prendre parti
Pour les uns, pour les autres
Émotions, discours mental
C'est sans fin, à moins d'une destruction totale.

Pourtant entre ces deux mâchoires...



 Olllollool

 
 Angel Bolligan

mardi 21 juin 2016

Confusion dans les termes

Le sentiment d'isolement
Forme dépressionnaire
Et l'on maudit la solitude
Regardez bien où il surgit.

Où le manque vient-il se dire ?
Dans la relation, dans la communication
Dans la rencontre avec ce réel qui s'ignore illusion
Parce que lorsqu'on est seul, vraiment
Sans attente, donc sans manque
Les énergies circulent dans toutes les directions
Et ce n'est pas une affaire de style
C'est si vivant !

vendredi 18 décembre 2015

Des confusions

Lorsque le mental égotisé traite de l'illusion, il y a "moi" et l'illusion. Ainsi on se retrouve à discuter de l'illusion du temps tout en prônant le devenir. Renoncement à la plus simple expression d'une réflexion menée avec rigueur qui fait dire : « le temps n'existe pas, mais moi, je deviens plus grand, plus fort, plus sage, de jour en jour. »
C'est comme croire qu'avec ses pensées dirigées par le désir de... (mon bonheur, ma réussite, etc.), il soit possible de créer le monde. « C'est une question de volonté ! ». Là, rions ensemble, la farce est tendue de fils si grossiers. Comment nos pensées, bloquées au niveau le plus bas de la conscience, suggérées par nos instincts vitaux, déformées par la cristallisation de l'ego, comment ce mental atrophié pourrait-il créer ?
Dans cette mare, ça patauge, ça remue les immondices des générations passées, en rajoute une couche, niveau de confusion toujours plus dense, rien à voir avec la question de l'illusion.

lundi 12 janvier 2015

Mais de quoi se nourrit l'homme qui le rend si affreusement malade ?

Tout est information, chaque pensée, la forme que produit la pensée, le corps en chacune de ses cellules, l’énergie est information.

Quelles informations "la cité de l’homme égaré"  produit-elle ?
Un message de mort, le vivant se nourrissant de poisons, de mensonges, de confusions, de soumissions, de manipulations, un message dénaturé au plus haut point, issu de l'état de déconnexion en esprit.

*

 

Se réapproprier son propre rapport à la peur

Le mensonge n’est pas une entité séparée
N’allons pas encore jouer au dragon destructor
Et au preux chevalier qui sauve la belle princesse !

Voir la peur en la psyché, la voir prendre corps
En elle, le déroulement de tous les temps historiques
De l’humanité :
S’en remettre à autrui pour mettre fin à la souffrance
S’en remettre à plus grand, celui qui sait
Le plus grand de tous étant dieu.
 
Se réapproprier son propre rapport à la peur
Elle fait parti intégrante de l’expérience intime
Assumer les moyens que l’on met en place
Pour traiter avec elle, sans en justifier
C’est conscience que cela, énergie 
Qui permet d’explorer un peu plus profond
 
La question du mensonge qui nous fait.
 

vendredi 21 novembre 2014

L'organisation du mensonge

Le mensonge s’organise et qui pourrait prétendre
La vérité ?
Il faudrait qu’elle soit un point fixe, immuable
Alors nous pourrions prétendre l’atteindre.
 
Il y a l’interdit décrété par les lois
La loi s’interprète par le juge
Et l’on joue de fausses preuves et de diffamations
Cela fait les erreurs judiciaires.
 
Et la rumeur grandit !
 
Il y a cette confusion des idéaux
Qui fait faible et rampant, au nom de la paix
Ou encore kamikazes, hommes-bombes
Se jetant dans la foule, au nom de dieu.
 
Le silence du cœur ne se dresse pas
Il fait taire les cris de vengeance.
 
Qui es-tu toi, pour juger ?
Avance, il n’y a pas d’obstacle.
 
 

vendredi 5 septembre 2014

Je ne vois pas de différence ...

Je ne vois pas de différence entre
L’enfant d’homo sapiens
L’enfant de la biche, de la louve
De la baleine, de la sardine
L’enfant graine toujours
L’enfant vivant.

Et voilà qu'après avoir défini la différence comme étant ce qui distingue pour opposer (étymologie : du latin differentia, différence, venant de differre disséminer, disperser, séparer, déchirer), on en a fait une catégorie centrale de la réflexion éthique, philosophique, politique pour parler de respect de la multitude …
Curieuse façon de faire, non ?
Vous, je sais pas, mais en moi cela fait des nœuds au cerveau, trancher aussitôt par Voir.
Alors, redire tout tranquillement :

Je ne vois pas de différence entre
L’enfant d’homo sapiens
L’enfant de la biche, de la louve
De la baleine, de la sardine
L’enfant graine toujours
L’enfant vivant.