Alignés sur le sens profond des gestes et des actions...

En lien avec l'article "Une révolution cérébrale (partie 1)",  à lire ici : http://lejournalduveilleur.unblog.fr/

Je t'ai posé la question : pourquoi utiliser ce mot autisme alors qu'il est déjà lourdement sujet à confusion ? Te posant la question je ne remettais pas en cause la justesse de ton choix, je te connais et je sais combien chacune de tes interventions correspond à ton intime expérience, c'est respect en moi. Je retiens cette réponse  : « La confusion est peut-être pratique pour les systèmes, car cette question de l’autisme dérange profondément, à plein de niveaux différents ».

 

Oui ! Il y a intérêt à ce qu'il y ait confusion entre les retards de développement liés à des empoisonnements (vaccins, pesticides, et autres pollutions )* et l'autisme dont tu parles. Je dois le dire, j'aime ta façon de te "réapproprier" les mots, je perçois alors la gémellité profonde qui fait la relation. J'aime et aussi je suis bousculée au niveau de mes représentations. Enfin, elles sont miennes le temps de voir combien cela appartient au consensus, à cette confusion voulue par les systèmes (extérieurs et intérieurs, systèmes de croyance et de pouvoir).

Confusion afin que les populations détournent les yeux de ce massacre de nos enfants, une guerre chimique qu'ils nous ont même pas déclarée mais qui nous est faite.

Confusion afin que les signes du changement profond qui s'opère au niveau de nos corps/esprit ne puissent être reconnus. 

 

C'est ce monde qui est malade. Pour me préserver de sa nocivité une seule solution, voir l'étendu des dégâts au sein même de la définition des mots, retrouver leur sens véritable. 

* Voir vidéo ci-dessous :

 

La définition ?

Elle donne l'impression que l'on retrouve "la chose" en l'état où on elle était lorsqu'on l'a défini.

Elle supporte à elle toute seule, l'illusion de continuité.

Elle dissimule les trous dans le filet.

C'est un processus mental mis en place par le désir de ne jamais voir la fin.

Je ne vois pas de différence ...

Je ne vois pas de différence entre

L’enfant d’homo sapiens

L’enfant de la biche, de la louve

De la baleine, de la sardine

L’enfant graine toujours

L’enfant vivant.

Et voilà qu'après avoir défini la différence comme étant ce qui distingue pour opposer (étymologie : du latin differentia, différence, venant de differre disséminer, disperser, séparer, déchirer), on en a fait une catégorie centrale de la réflexion éthique, philosophique, politique pour parler de respect de la multitude …

Curieuse façon de faire, non ?

Vous, je sais pas, mais en moi cela fait des nœuds au cerveau, trancher aussitôt par Voir.

Alors, redire tout tranquillement :

Je ne vois pas de différence entre

L’enfant d’homo sapiens

L’enfant de la biche, de la louve

De la baleine, de la sardine

L’enfant graine toujours

L’enfant vivant.

Aimez-vous le silence ?

Il n'est possible d'échanger qu'à partir d'un "bien commun"

Pour l'homme c'est une question de vocabulaire

De définition de ce vocabulaire.

 

Le mot silence, évoque dans le "bien commun"

Une qualité du milieu auditif

Que l'on juge agréable ou désagréable

Agréable jusqu'à un certain point

Qui sera défini à son tour

« Pas de bruit de voitures, de machines, le chant des oiseaux oui ! »

 

Parfois la conscience que l'état intérieur influence cette perception

Mais pratiquement jamais, la conscience que tout se crée dans le cerveau

Par les définitions retenues comme vérités en tant que faits.

Et que se passe-t-il lorsque la définition est reconnue pour ce qu'elle est ?

Pareille à ces lignes imaginaires, équateur, parallèles, méridiens

Utiles à calculer latitudes et longitudes

Utiles à la navigation, à établir le concept de temps et d'espace

Organisant le cadre d'un niveau d'expérience du vivant

Et si la définition n'est pas précise

Les calculs n'apportent plus aucune information

Et voir ce quadrillage, ce code pour ce qu'il est ?

 

Une terre sans frontière, si vaste qu'on n'en finit jamais de poser les pieds en de nouvelles contrées. Une terre de rigueur qui chante la liberté. Une terre de beautés qu'aucune créature n'a altérée parce que tout y est infini respect. Une terre de silence parce que l'ordre y règne.

Et par la bouche de l'homme, en chaque mot choisi dans sa juste définition, l'art de rêver, mariage du raisonnablement possible et de tous les possibles.