Là où il se doit

Faut-il douter du fait que tout vienne à point nommé, là où il se doit ? 
Qu’il n’y ait jamais d’erreur dans la distribution des cartes
Ni dans la capacité de les lire, et même de les interpréter ?

Le doute est toujours possible, et alors il est utile.

Dans la grisaille froide du jour, une tourterelle lance son chant amoureux.

Déjà publié ici

Source 

... comme un puzzle !

Les choses se mettent en place d'elles-mêmes

Le terrain aura été préparé, la cour nettoyée

Les placards rangés, voir vidés

Et les tiroirs !!!

Tout léger !

Alors te voilà témoin

De cette chose extraordinaire, magique !

Des choses qui se mettent en place d'elles-mêmes

Non pas dans un agencement statique, non !

Vivant !!!!

Cela bouge, cela circule, cela se réjouit ! 

 Fernando Ramos

Mieux que le commerce équitable !

C'est une juste pesée

Avant il ne se passe rien

Et d'un seul coup !

Tout ce qui a été fait auparavant

En efforts et contre-efforts

Y participant.

Il n'y a pas de choses, de personnes, d'événements

Plus importants que ne le serait l'autre.

Poussière d'Etoile

Nous allions en tant de certitudes
Enfin, il y en avait bien quelques uns...
Et tout s'écroulait sous nos yeux.

Reprenons cette dernière affirmation
Tout : le mur des apparences
S'écroulait : l'illusion ne fait que s'effacer
Sous nos yeux : l'aveugle ne voit pas.

Que reste-t-il alors ?

Une réponse possible
Le mouvement évolutif à l’œuvre.

Concentration et expansion

Ce niveau vibratoire qui travaille l'être tout entier en expansion, en ouverture, oui ça fait pleurer, pas de tristesse, pas de regret, mais d'intensité. Le moindre geste, la moindre pensée, traversés par cette lumière.

Il me semble bien que chaque personne résonne d'une certaine manière à ces vagues d'énergie, quoi qu'il en soit chacun l'exprimera d'une façon différente selon son conditionnement (familiale, culturelle, autres). Le besoin de dire, le besoin de taire, le besoin de solitude ou pas, la rigueur de la concision ou le débordement de l'âme, le besoin de fouiller dans les profondeurs ou de s’élever avec l'oiseau de l'extase, je vois en tout cela une exigence qui s'impose à nos volontés. C'est le travail de la relation, énergie, amour, conscience, communion charnelle redécouverte à un niveau autre. Communion dans laquelle deux principes se rencontrent : concentration et expansion.

Rien ne se présente qui n’existe en tant que potentiel.

Il semble évident que l'homme est mu par un questionnement profond dont les termes se sont pervertis en lui, si bien que le potentiel qui s'offrait dans cette intention de connaissance se trouve dévié, détourné avec les conséquences dont nous subissons tous les effets. Le grand théâtre de la folie organisée fait le plein, chacun victime et bourreau.

Devant ce constat on peut se dire que cela participe encore, et qu'après tout notre vue est trop basse pour comprendre les tenants et les aboutissants. Mais, cela n'est-il pas encore un renoncement ? Après tant de tapage, d'enthousiasme, de cris de victoires, de certitudes, d'arrogances, cela n'est-il pas l'acte le plus lâche qui soit ?

 

L'équation est là, partout, en chacun de nous. Ces termes sont mal posés ? Hé bien soit, posons-les correctement !

Nous aurions tort de penser que les erreurs nous condamnent, comme nous aurions tort encore de refuser de les voir. 

Voir ne se peut que lorsque l'esprit, ni ne juge, ni ne justifie. C'est la condition première que cette position en conscience pour qu'à nouveau ce qui se présente soit neuf, c'est à dire énergie.