lundi 16 janvier 2017

Ce qui est impossible

Ils ne peuvent pas te changer
   -  Oui, c'est impossible
Ils ne peuvent pas te détruire
  -  Oui, c'est impossible.

De la sensualité

Tu sais, ce qui est infini, c'est la sensualité
Rebondissement de miroir en miroir
Une onde de particule en particule
Ce qui est divin est infiniment sensuel.

Plonger en intériorité
Frottement, c'est caresse
Deux circuits, ascendant et descendant.

De cet amour, de cet autre état

Ce qui ne peut pas s'inscrire dans le temps...
Alors la question : faut-il rejoindre cette dimension ?

Montrer d'une façon raisonnable que c'est descriptible
Et puis montrer d'une façon raisonnable que cela n'est pas descriptible.

N'appartenir à aucune famille
S'en faire le reproche
Et finalement se rendre compte
Se trouver devant l'évidence
Que ce sont eux qui d'une manière insidieuse
Ont rejeté, ont maintenu à la marge
Le vilain petit canard
Tellement d'hypocrisie
Que l'on aura endossé la responsabilité
De ce qui ne nous appartient pas
Que reste-t-il ?
Le libre.

dimanche 15 janvier 2017

De l'arrêt

Car celui qui s'arrête le fait dans l'idée de s'engraisser
Vient le temps où l'embonpoint est l'ancre
Qui retient.

Quand cela redevient vivant

Les premières fois où c'est redevenu vivant
Ce fut un véritable effondrement
Des pans entiers !
Incroyable, cette destruction qui fait qu'on redevient vivant
La carcasse secouée à un point !
Et puis, non pas retour à la normal
Non, il n'y a plus de normalité
Mais on ne saurait survivre
En état de si grand chantier...

Les fois d'après, c'est plus doux, toujours plus doux
Ce ne sont plus des pans entiers
Ce ne sont plus des effondrements
Les larmes sont presque paisibles
Elles ne cherchent pas à se cacher 
Non plus qu'elles s'affichent
Un instant, rien qu'un instant
Par petites touches...

De la folie...

Les fous tu sais, ce ne sont pas ceux qui sont enfermés dans les asiles
Ceux-là sont malades, malades de ce monde infernal
Les fous
Ceux qui se pensent censés dans ce monde insensé
Tu sais...
Parfois je veille sur ton sommeil
En moi, je veille
Mon corps comme une montagne
Mon corps océan
Mon corps infini...

samedi 14 janvier 2017

Du vecteur de changement

Vous avez réduit le monde
A ces circonstances particulières de l'homme
L'homme qui se prend pour un super prédateur
Et qui n'est qu'un super destructeur.

Le monde inclut cela
Le monde dépasse cela
En avant, en après
Dans toutes les directions.

Le monde est beau, malgré toutes ces destructions
L'homme un furoncle, un virus, un vecteur de changement.