On
pourrait penser que toute information contient une part de vérité
et, une part de fausseté ne pouvant envisager tous les tenants et
aboutissants, oui ! Mais lorsque très clairement ce qui est
rapporté est mensonge (exemple : celui-ci n'a jamais prononcé ces mots, aucune loi n'a
été adoptée), quelle est donc cette attitude qui consiste à
nier l'évidence ?
Parce
que nous n'aimons pas être pris en faute ?
Question d'amour
propre. Si je constate mon erreur par moi-même, ça passe mieux,
j'ai encore le choix, faire silence (faire comme si) ou encore
l'assumer publiquement. Mais si c'est une autre personne qui me fait
remarquer mon erreur, là ça passe mal, peut être même que ça ne
passe pas du tout !
Mais
encore... parce qu' il y a le pouvoir de conviction de l'esprit,
comme le criminel se convint de ne pas avoir commis ce crime alors
que toutes les preuves le désignent, que se passe-t-il alors ?
La
signature, la fermeture, la fin des haricots !
L'oracle accède à un niveau d'information, où la preuve n'existe pas.
RépondreSupprimerL'oracle, oui ! Mais je ne parle pas de ce niveau de conscience dans ce billet. J'essaie d'approfondir la question des manipulations par l'information (les informations). Sujet, oh combien sensible en ce moment !
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