Il
y a des jours où c'est sans choix
Il
faut prendre en charge la souffrance
Douleurs
des corps tenus prisonniers
D'une
camisole invisible mais tellement audible.
Prendre
en charge, ne pas se séparer...
Surfer
la vague, plonger dans les profondeurs
Après
la tempête, l'éclaircie toujours
Atteindre
une rive neuve et si fraîche.
L'air
parfumé aux essences délicates
Le
corps si léger flotte en cette lumière
Intense
qui n’éblouit pas
Passage,
c'est un passage.
Le
moment venu, l'ultime passage.
Oh oui !!!! Il en est ainsi...
RépondreSupprimerOui, nous connaissons tous cela !!!
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