Et bien, pour le corps ce n'est pas même chose
Que de douleurs !
Pourtant, dans l'acceptation
Se retrouver
Non accrochée mais souple
Des racines à la canopée.
Et bien, pour le corps ce n'est pas même chose
Que de douleurs !
Pourtant, dans l'acceptation
Se retrouver
Non accrochée mais souple
Des racines à la canopée.
Je
t'ai inventé, non à partir de rien
Effluves
rencontrant des attentes profondes
Non
pour quelques accomplissements
Passage,
passage !
Tout
est passage
Vers
un horizon jamais atteint
Que
la mort traverse
Sans
retour, sauf à se perdre
Dans
l'entre deux mondes.
Le prix du passage ,,,,
Tu le connais -toi le prix du passage ?
Ils
restent là, indécis, imprécis
Et pourtant tellement
entêtés
N'ont rien à dire
Pas même à murmurer.
Alors
je suis sortie
Sur le pas de la porte, le vent m'attendait.
Vibrante
paix, profonde et si légère
Abandon sans laisser aller
Un mot
pour souffler, vacuité.
Ils
ont vu qu’il fallait rompre et non pas s’accorder
Ils ont vu
que le mystère resterait entier
Ils ont vu, dieu et diable,
s’effacer des cieux obscurs.
Ils
ont vu...
Que seuls il leur faudrait marcher
Sans jamais se
retourner
Ils ont vu, un monde finir en eux…
Les
plus vaillants marchaient devant
Leurs rires tonitruants
Derrière, les visages emprunts de sérieux
En leur oreille
encore la rumeur
Aucun pour s’attarder, se pencher, retenir
Le
temps n’était plus aux regrets
Ensemble, ils avançaient.