Une
fois tu m'es apparue vision de lumière
Tu
avais forme humanoïde, un être grand et mince
Et
tellement, tellement silencieux.
Je
dormais, et aussi je ne dormais pas
J'étais
à tes côtés, nous revenions d'un ailleurs
Dont
j'ignore tout ; pas de porte dans le mur
Et
pourtant c'est là que je nous voyais
Que
je te voyais.
Et
puis, tu as tendu le doigt
Toujours
tellement silencieux
Au
bout de ton doigt, je voyais la chambre
Mon
lit, et moi dans le lit
Vision
étrange, le teint gris, des cernes profondes
Et
pourtant émanait de ce visage une belle lumière.
Le
doigt, c'était aussi : « Retourne là-bas ! »
Et
dans l'instant, être à nouveau ce corps
Et
voir une toute petite lumière rouge
S'éloigner,
s'éloigner et disparaître
Toujours
dans le même silence
Et
là j'étais réveillée.
Aucun
trouble, aucune excitation
Grande
paix silencieuse
Et
la vision tellement vivante, sans question.
Quint Buchholz
D'un monde à l'autre... les passages secrets...
RépondreSupprimerOui... le chemin caché...
SupprimerȘi luna devenise un semn de carte
RépondreSupprimerStrălucind în fereastra cuvintelor...
C'est beau ce que tu dis là !!! :)
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