Alors,
elle se dit qu’elle n’avait pas assez veillé
Qu’un
court instant elle s’était absentée
L’air
était si doux
Elle
avait plongé dans l’onde claire
Écouté
les oiseaux
Laissé
le soleil caresser la peau
Et
sur le chemin du retour…
Un
pressentiment, puissant, terrassant
De
ceux qui apportent les images
Qu’on
tient loin de soi
Et
qui pourtant surgissent là
Elle
le vit s’enfoncer dans les marées
Elle
poussa un cri
Qu’il
n’entendit pas
A
terre elle tomba
Comme
la vague
Qui
claque la roche
Mais
déjà elle était debout
Quoi
qu’il puisse arriver
Quelques
soient les apparences
Elle
ne ferait pas, en sa tête
En
son cœur
Le
non sens, le sans réponse
Et
ce n’est pas le vide
Qui
répondait
Mais
une présence si vaste
De
si beaux paysages
Libres
sauvages.
Sans
voix elle était
Ne
connaissant aucun son
Pour
dire ce qu’elle voyait là.
Judith Clay
Elle se sentait tout à coup libre de vivre sa vie ......
RépondreSupprimerBonjour Miche
Bonjour Saby, se libérer des émotions, oui !
SupprimerOui, cela se décide !!!
RépondreSupprimerOui !
SupprimerVorbiți-ne Miche despre aceste peisaje frumoase...
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