La
plaine immense
Sous
un ciel que rien n’arrête
Pour
un jour, un seul, vacuité
Aussitôt
caressé de gris, de blanc
En
d’obliques rayons sur les blés.
Au
loin la cathédrale, tapie
Et
le ciel rien que lui
Sans
que ligne d’horizon
Ne
vienne marquer la limite
De
cette terre comme main.
Tout
ouvert, les secrets
Au
cœur des labyrinthes
Des
forêts, des rivières
En
cette rectitude
Qui
monte au ciel.
Dans Beauce, il y a Beau.
RépondreSupprimerAlors je dis : Beau.
Merci...
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