Parce
que ceux
Qui
parlent tant d'amour
Sont
dans une plainte infinie
La
plainte de ce qui se voit finir
Et
ne le veut pas.
Une
image s'impose
La morne plainte de la plaine en hiver
Quand ciel et terre s'étouffent l'un à l'autre...
La morne plainte de la plaine en hiver
Quand ciel et terre s'étouffent l'un à l'autre...
Combien d'amours pour se bercer, ouater l'esprit d'illusions?
RépondreSupprimerAh ça, cela semble sans limite !
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