lundi 14 avril 2025

Le culte de la mère


Les mères qui restent mères, les enfants devenus adultes. Elles ne vivent qu'à-travers leurs progénitures, dans le souci ou encore dans le contentement, la fierté est si grande. Bien sûr, la peur, la maladie, la mort !
Elles sont possessives mêmes lorsqu'elles sont discrètes, on ne peut pas les oublier. Et que l'attachement soit !
 
Voilà bien une chose qui m'est étrangère, bien que je connaisse. Il a fallu que la part libre, entre en conflit avec la norme, avec l’éducation reçue, avec les "autres" dans les relations, avec le clan qu'est chaque famille, et chose étrange avec mes enfants. En conflit ? Apprendre le conflit, pour le réduire en soi, à une danse sacrée.
 
Ce souffle libérateur, ce tison en le ventre, il a toujours été là, dessinant l'image du chemin, restait à le faire. L'enfant n'avait qu'une hâte, devenir assez grande pour quitter la maison, et jamais elle n'a pu s'intégrer en aucun groupe, ni se sentir appartenir à une culture, un pays même. Cela n'a pas empêché l'expérience du travail partagé. Autour d'une tâche clairement définie, des personnes actives, donnant le meilleur toujours, le temps d'une tâche à accomplir.
 

 



2 commentaires:

  1. Les mères chattes si attentionnées à leurs petits, rompent à un moment déterminant ce lien privilégié.

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