Les
mères qui restent mères, les enfants devenus adultes. Elles ne vivent qu'à-travers leurs progénitures,
dans le souci ou encore dans le contentement, la fierté est si
grande. Bien sûr, la peur, la maladie, la mort !
Elles
sont possessives mêmes lorsqu'elles sont discrètes, on ne peut pas
les oublier. Et que l'attachement soit !
Voilà
bien une chose qui m'est étrangère, bien que je connaisse. Il a
fallu que la part libre, entre en conflit avec la norme, avec
l’éducation reçue, avec les "autres" dans les
relations, avec le clan qu'est chaque famille, et chose étrange avec
mes enfants. En conflit ? Apprendre le conflit, pour le réduire
en soi, à une danse sacrée.
Ce
souffle libérateur, ce tison en le ventre, il a toujours été là,
dessinant l'image du chemin, restait à le faire. L'enfant n'avait
qu'une hâte, devenir assez grande pour quitter la maison, et jamais
elle n'a pu s'intégrer en aucun groupe, ni se sentir appartenir à
une culture, un pays même. Cela n'a pas empêché l'expérience du
travail partagé. Autour d'une tâche clairement définie, des
personnes actives, donnant le meilleur toujours, le temps d'une tâche
à accomplir.
Les mères chattes si attentionnées à leurs petits, rompent à un moment déterminant ce lien privilégié.
RépondreSupprimerOui, les mères ours aussi....
Supprimer:)