Il suffit...
Que
les yeux cessent de courir, de la cascade à ce sommet
De
cette trouée dans la grisaille à ce papillon venu sécher ses
ailles si près…
Les
yeux se posent, sans effort, ils savent la juste distance
La
bouche se tait
En
l’espace qui s’ouvre, le corps se dresse, léger comme l’air,
il avance.