Programmes et limitation

 

Le cerveau est programmé

Les programmes limitent le potentiel du cerveau à des secteurs spécialisés

Et peu à peu, et toujours plus, le sclérosent. 

Le cerveau devient routinier

Alors qu'il a la compétence de créer de nouveaux programmes

Il n'est plus dans la capacité à le faire. 

Le cerveau humain est esclave de vieux programmes.

Le vivant se nourrit du vivant

Ce programme met l'homme dans la nécessité d’obéir

De se soumettre à cette condition. 

Ce n'est qu'un programme !

Source

Merci Anonyme 

Anonyme : Certains programmes sont si bien verrouillés qu'il est quasi impossible d'y toucher.

Miche : Je ne suis pas d'accord. Dire ce que vous dites, c'est rendre la chose tellement difficile que cela devient impossible, oui.
Je ne suis pas d'accord parce que nous sommes les créateurs de ces programmes dont nous devenons esclaves.

Albeniz Rodriguez 

De la prise de contact

– Il y a un programme entre ceci et cela.

– Oui, plusieurs sûrement. Un programme biologique lié à la survie dans un contexte particulier, celui de la vie sur cette planète dans un processus évolutif. Et puis des cultures, des familles, des climats, et encore la question de la personne, un contexte très particulier.

– Ce sont des conditionnements.

– Oui, un conditionnement fonctionne comme un programme, il n'y a pas besoin de s'en occuper, c'est habitude.

– Changer d'habitude, est-ce suffisant ?

– Je ne pense pas, mettre une habitude à la place d'un autre, ce n'est pas véritablement un changement bien que les conséquences peuvent entraîner un changement profond. Par exemple si majoritairement la consommation de produits dérivés de l'exploitation des espèces animales cessait, les effets seraient vraiment révolutionnaires.

– Ne plus consommer aucun aliment, se nourrir de lumière, de prana, de l'information issue du vide, cela serait-il juste un changement d'habitude ?

– Non, là ça touche un programme biologique, si celui prend fin c'est un saut d'évolution radical.

De la pisseuse

Y'a rien à faire, toujours ce moment où ça bascule dans l'affect

« Merci, merci, bisous, bisous »

Je ne critique pas, je suis témoin de cela, en moi aussi

Faiblesse bien féminine

Et la guerrière se tiendra sous haute surveillance

Ou loin des regards pour se laisser aller

Dans ce rôle de la pisseuse.

D'où vient ce programme, à quoi sert-il ?

Culturel, éducatif, c'est certain

En chacun la réponse qu'attend-t-on de la fille ?

Petite et grande ?

Génétique ?

Ben là, je ne sais pas, et pour tout dire je ne crois pas

L'instinct maternel en moi est combatif

Je n'aime pas la maladie, je ne sais pas plaindre

D'où ce don de stopper les douleurs

Une mère qui secoue, qui incite à se mettre debout, à sortir de la maison

Peut-être parce qu'il n'y avait pas de père ?

Peut-être... on pourrait dire aussi, qu'il n'y avait pas de place pour le père, je pouvais tout faire, cette affaire des enfants me concernait moi seule. Je les avais portés dans ma chair, je les avais aidés à sortir de mon ventre, la suite était logique. Je vais choquer encore, mais c'est tellement vrai ! Vrai dans le sens d'une lecture au plus près de ce qui se dit autour et en moi. Il est évident que cela ne fait pas une vérité universelle, ni un modèle, non, juste que je suis cela, et que c'est cela qui communique.

Conclusion ?

En moi, cette expression de la pisseuse n'est que pour le conditionnement, celui de la relation où s'expriment les attentes du père, de la mère, de l'homme, des femmes. Rendre cela visible, libérer le créateur.