Il ne saurait ni aimer, ni ne pas aimer, ce n'est pas son propos.

 

Les histoires humaines ne cessent de nouer des nœuds

Transgénérationnels

C'est au-delà, au-travers, que "le rêveur " dénoue ces nœuds

Il n'est plus impliqué au niveau de la survie

Il gère ses émotions.

Il ne saurait ni aimer, ni ne pas aimer

Ce n'est pas son propos.

La souffrance il en décide pour la prendre en charge

Il connaît ses limites, lui qui sait ne pas en avoir

Responsabilité.

Comment fait-il cela ?

Cette question n'a pas de sens

Il fait.

Déjà publié ici 

Le chemin qui n'est pas...

 

Au croisement de tous ces chemins,

"là" où il n'y a pas de chemin

Le rêveur tisse les liens de l'amitié.

Ici, merci Merciel

Du paradoxe de l'apprenti

 

L'apprenti rêveur

Suit le rêveur pas à pas

Où qu'il soit, quelles que soient les conditions

Rectifié, il goûte à sa rienté

Tenu à distance, il apprend la pleine solitude

Seul il était dans l'espoir de ne l'être plus

Seul il sera à tout jamais.

Dans l'orgueil de ne reconnaître aucun maître

Il s'en imposera un, sans choix.

Déjà publié ici 

Ce paquet n'est pas à démailloter

 

Le rêveur n'est pas un produit de la société

Quelle que soit la culture

Il ne va pas les chemins interdits

Mais le chemin caché.

Il est rare qu'il vous tende quelque chose

Lorsqu'il le fait...

Ce paquet n'est pas à démailloter

Vous êtes en mesure ou pas de Voir.

Au-delà des apparences

Vous ne saurez jamais rien de ce qu'il contient

Cela agit au cœur de la matière

Entendre ou pas dans sa propre matière.

Déjà publié ici

Rachel Wright

Le rêveur silencieux

 

Un homme en solitude est rarement un homme silencieux

Le rêveur silencieux est  la solitude en lui

Pure comme un diamant

Il habite une grotte

Une grotte si étonnante...

La voûte de roches et de terres

De racines, d'arbres, de prairies

De montagnes, d'océans, de déserts

Et, l'infinité du ciel.

Les rêveurs "communiquent" par l'infinité

Par le haut qui est vacuité

Par le bas qui est enchevêtrements

Dans un silence effrayant pour le passant.

Qui se bouche les oreilles

Se met à courir

Vacarme des trompettes de Jéricho

Visions apocalyptiques. 

Déjà publié ici

Phil Koch.

De ce rêve...

Fort, si fort
De ce rêve en toi
C'est bien comme ça
Comme ça que je t'avais rêvé.

De la conscience

De la souplesse

Il faut beaucoup de souplesse...

Ce qui est raide !

Pète comme le verre.

  Miles Toland