De la révolutions des coeurs

 

- Tiens! prends ça dans ta gueule, crétin!

Jésus n’est pas un crétin.

Ce qu’ils en ont fait, le laissant sur la croix dans toutes leurs églises aux portes fermées, est un crime organisé contre la véritable révolution des cœurs.

Le grand nettoyage

Ce sont nos préjugés qui doivent tomber

Pourquoi les scientifiques qui ont fait la découverte de la discontinuité quantique ont-ils été si troublés ? Ils l'ont été !

C'est que sur la base de la continuité, la pensée classique a fondé la causalité au singulier, appliquer une cause à un point donné, obtenir un effet à un point voisin, ainsi de suite se transmettant de proche en proche par continuité. Ce modèle ne présuppose pas de "trou" dans l'espace et dans le temps, ce modèle est rendu caduque par ces "trous" dans le temps et l'espace.

Ainsi des lois, qui se prétendaient lois universelles, ne sont que des lois locales.

Certaines observations ne résistent pas dans l'infiniment petit, premier point. Deuxième point, l'in-continuité au cœur de la matière est "intouchable", l'inconnu surgissant de nulle part.

Ces scientifiques se trouvèrent confrontés a bien d'autres faits troublants pour le mode de pensée courant.

Dans la physique classique quand on fait une mesure on obtient un résultat : un électron tourne-t-il à gauche ? La réponse est oui, ou non. Dans le monde quantique on voit les états physiques se combiner, c'est oui, même si c'est non, tout objet quantique est onde et particule, ni l'un ni l'autre, ni les deux à la fois.

Ainsi tout objet de la réalité qui fait notre quotidien est aussi objet quantique, dans notre cerveau des connexions entre les neurones, entre les neurones des connexions quantiques... cela donne à réfléchir, c'est certain !

A la source, la dualité fondamentale, fondatrice, se présente dans une relation qui semble inclure un tiers, un tiers-inclus qui échappe à toute saisie.

Mais peut-être est-ce son effet (manifestation) que les physiciens observent lorsque prenant deux photons qui à un moment donné interagissent, les séparant par de grandes distances, ces deux photons prennent la même position, dans l'instant. Dans l'instant, simultanément, plus vite que la vitesse de la lumière... Pas de communication possible, telle que nous l'entendons au sens habituel, pas de déplacement d'une information par un canal, et pourtant...

Déjà publié ici 

Ernst Fuche

Ce qui se doit

Quand la folie est devenue si grande

Que le moment est venu de changer de peau

Peau de pensée

Quand on sent si fort en son corps ce qui crie en ce monde

Et qu’on a pris un peu d’avance… non pour se tirer loin, loin là-bas

Loin là-bas n’existe pas !

Se taire ne se peut pas

Non que l’écoulement des mots apporte apaisements

Il nous met au contraire dans une position difficile

Au regard du consensus qui ne peut entendre.

Parler n’a aucun sens si aucune oreille ne peut recevoir

Le désert n’a nul besoin qu’on lui dise ces quatre vérités

Chaque grain de sable sait parfaitement ce qui se passe là.

Il n’est pas que nous nous parlions pour notre plaisir

Il est que ce mouvement d’ouverture en esprit puisse se faire

Comme la nature en a décidé.

William Blake. Hécate. 1795

Les deux faces de la même pièce

Celui qui croit et celui qui ne croit pas

C'est le même !

De l'arrogance à la dépression.

Et voici le vrai sens de la dépression

L'envers d'un trop plein d'arrogance

L'arrogance est toujours un laisser-aller.

Comment différencier laisser-aller et lâcher prise ?

C'est l'arrogance qui marque la différence

L'arrogance et l'effondrement qui s'en suit

Alors la plainte et la dépression. 

 Janus 

Une question d'évolution

Labourer la terre

Lui planter la graine au plus profond !

Nous ne l'avons que trop fait 

D'une manière toujours plus arrogante.

D'une manière empressée, méprisante

Comme la vache qui se trouve violée, inséminée

Son veau lui étant arraché et jeté à la poubelle

Économiser une euthanasie !

Il est temps de rendre à l'incarnation ce qui lui appartient

Temps de libérer la terre du joug que l'homme lui a imposé

Pour se nourrir ?

Mensonge !

Mensonge qui a pour conséquence l'arrêt de l'évolution

Cette espèce peut se nourrir de lumière...  

 

Canyonlands National Park in Utah

Et toutes les petites cellules battent des mains, des pieds...

Les murs de nos prisons sont tendus d'émotions
Qui n'ont pas trouvé le chemin de finir
Qui bien au contraire ont fait des nœuds
Prétendant construire des ponts.

Mais voilà, et ce n'est pas sans nous
Le moment de la libération
Un schème émotionnel se présente
Un qui concerne le roman de cette vie
Un qui vous aura pratiqué si souvent
A intervalles plus ou moins réguliers
Avec plus ou moins d'intensité...
 
Vous le sentez venir, vous connaissez tout de lui
Vous ne luttez pas, sachant que c'est inutile
Juste vous le regardez s'approcher.
 
Et là, il se passe cette chose
Que vous n'endossez pas cet habit
Il reste posé sur la chaise
Un air frais pénètre la pièce.

Un autre rôle ?
Peut-être, mais tellement plus léger !
Fluide, ça circule
Et toutes les petites cellules battent des mains, des pieds
Cela se réjouit partout, en vous
Et c'est aussi cet arbre, ce brin d'herbe
Cela communique...


Déjà publié ici  

Yarkiy Voshod

Dans cette attente...

D’une manière le plus souvent confuse          

Nous travaillons tous à la transformation radicale

Qui fera de l'homme, l'HOMME.

Il serait plus juste de dire que cela se fait

Et pourtant cela ne sera pas

Sans notre participation active.

                                                                     Source

Splash et splash

Il n'y a pas de création

Dans la répétition, l'imitation.

Le créateur renonce au confort du connu

Ce n'est pas littérature

Vraiment !

 Café Splash par Guszti132

De cette évolution ???

Dans la nature, la sauvage

Il y a la mort, la prédation, bien sûr !

C'est équilibre écologique

Le vivant se nourrit du vivant.

Mais aussi, dans la nature tant d'amour

Les mères pour les petits

Et quoi qu'on en dise l'entraide participative

Courantes et en des actes hors normes.

Quelle tristesse lorsque cette espèce qui aurait du

Qui aurait pu, grandissant en conscience

Se conduit d'une manière aussi barbare

Et encore justifie de ces ignominies. 

 

De l'impossible

Et de se dire qu'il y a des choses à ne pas dire

Elles resteront incomprises

Trop tôt !

Et puis se dire que si, il faut les dire

Participer de ce difficile travail de la révolution 

En esprit ! 

 Fidel Garcia