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mardi 10 septembre 2024

L'étranger

 

L’étrange, aussi l’étranger

Il avance

Les nuages qui passent là-bas…

 


De l'inconnaissable


Et voici l'inconnaissable
Que l'on ne connaît que par son absence
La tête vrillée, de force tournée
Face au vide qui en vérité n'existe pas
Plein, d'énergie, potentiel informationnel.
 
 

 

lundi 9 septembre 2024

La peur de l'inconnu

 

Je lui ai tendu le fruit
Délicieux, pomme et lychee
Elle le porte à sa bouche
Son corps refuse ce fruit défendu
Là s’ouvre l’inconnaissable.
 
Elle questionne
Non pour s’approcher du vide
Mais pour s’en éloigner
A tout jamais.

 

 

vendredi 9 août 2024

Patatras !


Se rassurer avec ce que l'on fait de bien, adéquate
Pour un résultat décidé et qu'on atteindra
Dans un avenir plus ou moins ,,,

Dans une direction, une seule
Et l'on finit par croire qu'elle est la seule
C'est ce que nous faisons en grand, en petit
Ce que nous faisons sans cesse,

C'est dire, quand l'inconnu se présente !



mercredi 27 septembre 2023

De cet inconnu


Cet inconnu qui se présente-là
Parfaitement inconnu, et pour le corps
Et pour l'esprit.

Présent, et insaisissable




lundi 3 avril 2023

Juste ...

 

Rester devant ce que l’on ne comprend pas
Rester dans cette concentration
Se laisser étirer par cette chose inconnue.







vendredi 15 avril 2022

L'inconnu

 

Si tu es sûr de ton amour tu ne risques rien
Cela ne fait pas une assurance sur la vie
Ni des lendemains qui chantent, encore que...
Mais au cœur du cœur une flamme.
 
Je ne dirai pas que, jamais elle ne s'éteindra
Non... Je ne le dirai pas
Je laisse cela à l'inconnu qui borde les rives
Du connu, sans peur.


mardi 12 avril 2022

Au dedans, l'inconnu

 

Inconnu, et nous pensons que cela vient de dehors, pénétrer une intimité qui nous serait familière. Il n'en est rien ! Inconnu est notre intériorité, le monde extérieur étant la projection du connu, des savoirs, des certitudes, du mensonge, sur l'écran de l'esprit.
Dessous la peau, dessous la surface, ce qui est invisible pour les sens courants, forcément, notre intime, là où je suis le créateur de cette créature qui vogue sur son propre océan.
Ainsi l'homme se projette, par l’intermédiaire de ses prothèses que sont les télescopes et satellites, jusqu'au mur de Planck, alors qu'il connaît si peu les abysses et les profondeurs de la terre mère, ce corps vivant dans toutes ses interactions savantes.
Mais ce n'est qu'une image, la connaissance dont il est question ici, est tout autre. Pour l'approcher définir un peu le mot matrice.

"Matrice",  ce mot a deux sens :
le monde extérieur, monde illusoire, monde reflet auquel nous sommes attachés, et qui donc nous conditionne. Là où toute évolution est impossible, seulement l'éducation, la répétition dans laquelle nous voulons voir une amélioration de conditions premières, mais c'est détérioration.

le monde intérieur, par lequel cela communique, partage, multiple, chant vibratoire créateur en chacun. 




mardi 4 mai 2021

Espace en soi accueille l'inconnu.

 

L'inconnu n'est pas l'inconnaissable
Qui comprendra la différence ?
Elle est du tout au tout. 

Espace en soi accueille.





Costa Rica

mardi 13 avril 2021

Accueillir... inconnu

 

Accueillir l'inconnu qui n'est pas l'inconnaissable
Est beaucoup plus profond qu'il n'y paraît
Ce n'est pas se dire : Ah maintenant je vais savoir !

C'est précisément un arrêt de ce mouvement
Celui du penseur, du moi conscient
Dans ses revendications
Et ses refus.




Merci

vendredi 31 juillet 2020

L'insaisissable

Ce n'est pas la raison qui se refuse
C'est Cela qui ne cesse de se manifester
Dans l'organisation dictatoriale du connu
Qui prétend réduire le "mystère"
Et l'instant d'après renonce à la responsabilité
Contradiction et confusion.

Cela est doux, amour infini
Cela dérange, coups de buttoir
Caché et révélé dans le même mouvement
Mais cela est-il un mouvement ?
Non...




vendredi 24 juillet 2020

Le cyclone et son oeil...


Prisonnier d'une représentation totalisante
L'esprit humain n'a d'autre choix que de projeter
Ce qui jamais n'est atteint.

Tout est là...
Que l'esprit prisonnier ne voit pas
Tout est là, toujours nouveau
En son centre immobile.

Maintenant, il faut se rendre à l'évidence
La représentation est agissante
Elle suit son propre mouvement
En des moyens techniques, politiques
Qui conditionnent la vie d'esclaves consentants
Un train fou, sans conducteur.



Merci Ariaga 

Ariaga : Tout a fait d'accord mais le problème est que nous ne nous RE présentons que ce que nous connaissons déjà et il y a tellement plus dans la Totalité ...

-L'inconnu ne cesse de frapper à la porte, là où il est reçu..

Odilon Redon

samedi 4 avril 2020

Du toujours nouveau


Lorsque tu adhères à une représentation du monde
Unique, qu'elle soit admise par le consensus
Ou traitée de complotiste
Le problème vois-tu ?

Le problème est que chaque information qui se présente
A toi, se trouve traitée par cette représentation
Rejetée, déviée, transformée
Toujours pour confirmer ce scénario.

Alors que l'information apporte toujours quelque chose
De nouveau, car si non à quoi bon...
Ce nouveau est sacrifié, et te voilà prisonnier
De ta propre représentation.




mardi 19 novembre 2019

"Tout autre "


S'ouvrir à l'autre, cet inconnu
Pas n'importe quel autre
"N'importe qui" c'est
La multitude des voix
Celles qui contentent
Celles qui mécontentent
Ordre et contre-ordre, la folie !

Unification en soi
Pas de rencontre
Dans l'incomplétude
Illusion de l'incomplétude
Attirer l'autre à soi
Le faire sien, le posséder
Surtout qu'il ne soit pas autre 
Ne pas s'ouvrir à l'inconnu !


Autre, vraiment tout autre
C'est Lui, mais ne rien savoir de lui
Qui ne peut rien pour toi
Et toi, rien pour lui
Pas de biens communs
Rien ne se construit
Tout s'accomplit
Mouvement infini 
De l'infinitude.


Déjà publié ici 


Gustaf Fjaestad.

lundi 18 novembre 2019

Quand l'inconnu vient à percer la coquille...

Au plus profond des grottes l'homme a porté son flambeau
Maintenant il ne se sent en sécurité que sous les projecteurs
La pollution lumineuse est une réalité
Il n'aime pas la nuit, il a peur de l'obscurité.

Ainsi peu à peu, il a remplacé le chemin de Voir qui est de s'ouvrir à l'inconnu, par le chemin de produire du connu, de la répétition, du confort à bas prix, du sécuritaire à tout prix, du conformisme. Il s'emmerde prodigieusement dans ce huis clos, il s'invente des histoires, des discussions à bâtons rompus où finalement les mêmes rôles sont sans cesse redistribués. Changer de décors n'est pas s'ouvrir à l'inconnu.
Croyant gagner en latitude par la production de connu, l'homme est le maître d’œuvre d'un rétrécissement jusqu'à l’étouffement, un rétrécissement par la division d'un espace enfermé dans sa définition, l'espace n'étant plus alors qu'une place grouillante de monde. Il espère encore que les techniques, qu'il considère comme une avancée, lui permettront de franchir la ligne d'horizon de la planète bleue. Ainsi il est prêt à s'enfermer dans un engin (triomphe du connu) à l'assaut de l'inconnu inter-stellaire.

Et que se passe-t-il lorsque l'inconnu vient à percer cette coquille ?

Ah, quelle panique !
Dresser des barrages, colmater la brèche
Raccommoder les morceaux... 
Tout cela est vain
Quand l'inconnu perce l'illusoire connu.




 Tim White - Green door

vendredi 15 novembre 2019

C'est mourir au connu

Lorsque la rencontre est attendue
Et là voici qui se présente
Plutôt que de s'affoler, l'esprit se tait. 

La qualité la plus prégnante du silence
Est l'ouverture à l'inconnu
Attention sans sujet, sans objet.




Art fractal

lundi 4 novembre 2019

Și ce plăcută această întâlnire...

Oh oui, que c'est bon cette rencontre
Humer, goûter ces effluves inconnues
De vague en vague atteindre un rivage
Vierge !


 Phil Koch

jeudi 31 octobre 2019

L'invité

Il y a eu, il y a tant de récupérations
Dans le sens du détournement
Aussitôt que la main a eu l'idée
De saisir pour retenir.

Ainsi, les oiseaux dans les cages
Les barrages sur les fleuves
L'élevage, et comment ignorer
Au regard de ce que l'élevage est devenu
Que ce chemin est condamné
Au toujours plus laid.

Ouvre la main !
Re-donne ce qui ne t'appartient pas 
Alors tu découvriras que le seul pouvoir
De l'esprit sur le corps est celui du mensonge
Celui de la contrainte jusque dans le corps de l'autre
Contrainte physique et psychologique.
 
On ne gagne pas l'harmonie
Elle s'invite, là où deux ne s'opposent plus
On ne la gagne pas, on ne peut la perdre.


Déjà publié ici 


Internet

lundi 5 août 2019

Cet inconnu qui frappe à la porte.


Le monstre ne peut grandir qu'en devenant toujours plus monstrueux.

Ce besoin de quelque chose d'autre qui ne fait pas mon désir parce qu'il émane de la matière même, ce besoin est du vivant. C'est un feu, et c'est l'eau aussi, pour le mariage, pour la naissance de l'Homme Nouveau. On peut dire aussi que l'homme n'est pas encore, cela est plus juste sûrement, parce que ce que nous sommes est cette béance de non-sens que nous remplissons de croyances. Comment nommer ce qui n'est pas encore ? Oui sûrement que c'est préférable de dire que l'homme n'est pas, et qu'il est à naître.

Si l'aventure se réalise en chacun de nous, cela dépasse et règle la question de "mon" destin, de "mon" accomplissement, de "ma" réalisation. Cette révolution, attendue, ouvre les portes d'une toute autre dimension dans laquelle toutes ces attentes égocentriques fondent comme neige au soleil. Avant cela, comment parler d'amour ?

L'intensité de l'être en travail ne saurait être confondue avec les tensions de la personnalité qui prétend détenir la vérité absolue, qui fait de sa représentation (croyance) le point final à toute recherche. 




Ceslovac Cesnakevicius