L’étrange, aussi l’étranger
Il avance
Les nuages qui passent là-bas…
Je
lui ai tendu le fruit
Délicieux,
pomme et lychee
Elle
le porte à sa bouche
Son
corps refuse ce fruit défendu
Là
s’ouvre l’inconnaissable.
Elle
questionne
Non
pour s’approcher du vide
Mais
pour s’en éloigner
A
tout jamais.
Se rassurer avec ce
que l'on fait de bien, adéquate
Pour un résultat
décidé et qu'on atteindra
Dans un avenir plus ou
moins ,,,
Dans une direction,
une seule
Et l'on finit par
croire qu'elle est la seule
C'est ce que nous
faisons en grand, en petit
Ce que nous faisons
sans cesse,
C'est dire, quand
l'inconnu se présente !
Rester
devant ce que l’on ne comprend pas
Rester dans cette
concentration
Se laisser étirer par cette chose inconnue.