De la fidélité

 

Les promesses des petits enfants

Ils sont sincères, absolument

Plus tard, ils ne sont plus de petits enfants.

Je suis restée, absolument.

Déjà ici

Une petite pointe...

 

– C'est une vision à 360 °

– Tu exagères !

– Non, je n'exagère pas. Dans toutes les directions, ce qui doit être vu est vu. 

 

– Est-ce à dire que cela est le Tout ?

– C'est le Tout de cet existant, en cet instant. 

 

– Mais ce n'est pas le grand TOUT !

– Que veux-tu me faire dire ? Quel est ton problème ? Parle franchement !

– Je veux dire que c'est beaucoup d'arrogance que d'affirmer de pareilles inepties.

– Oui, sûrement, il en est ainsi pour toi, une petite pointe de jalousie puisque tu ne te souviens pas, de cela que tu connais aussi. 

Déjà publié ici

Du chaos

Le chaos n'est pas désordre, il est ordre absolu

L'ordre relatif de l'existant produit du désordre

Afin de naître de lui.

L'esprit aspire à l'absolu

Il ne touche que l'ordre relatif

Accouche sans cesse du désordre.

Déjà publié ici

Nanatsuno Taizai

C'est si fort !

Je n'étais pas radicale, je n'aurai pas osé
Je me suis radicalisée
En même temps qu'il est devenu possible
De lâcher prise sur toute la ligne.

Bill Gekas

De l'absolu

Dans les rires et dans les larmes

La paix et la souffrance

L’attente et le contentement

En l’homme, en l’enfant

En l’animal qu’il courre, vole, ou nage

En la plante en feuillage, en fleurs

En la terre, accueillante, bouleversante, en fusion

En le ciel, et tout l’univers

La musique

La vibration

La lumière.

Déjà publié ici  

 

De cet absolu qui t'habite

• La quête d'amour est-elle une quête d'absolu ?

Évidemment ! Toute quête est soif d'absolu

Pourquoi te mettre en recherche de ce qui est en toi ?

Kay Nielsen (1922 edition) 

De l'absolu

Penser librement
C'est solitude nécessairement
C'est là que l'écriture
Prend toute son importance.

 Internet

Le sens de l'absolu

Tu sais quand le regard se pose

Ni dedans, ni dehors

Poser veut dire cela

Ni dedans, ni dehors.

Quand cela se fait

Tu vois si loin, loin

Par-delà l'horizon jamais atteint

Par delà toutes les limitations !

Dieu que cela a fait rire, que de sarcasmes

Pour ce sens de l'absolu qui habite

Qui habite puisque de cet ailleurs l'on vient

Pas tous, il est vrai !

Internet

Prendre soin ...

Prendre soin...

Si c'est ne pas piétiner le jardin du voisin

Ne pas détruire les écosystèmes 

C'est un OUI, sans aucune retenue.

Si c'est …

Il n'y a que dans l'enfance que l'on puisse être dans ce besoin, dans cette nécessité et dieu sait que nombre d'adultes en usent et en abusent.

Et lorsque cela se perpétue dans le temps c'est qu'enfant on est resté.

Mais pour celle, celui, qui a tracé son chemin, atteint la complétude en soi, tout entier dans sa propre relation au monde, sans aucun intermédiaire !

Jamais l'être ne renonce à prendre soin de lui-même, faisant face toujours, et dans la mort encore.

Personne ne peut interpréter la vie pour lui, personne ne peut lui dire ce qu'il doit faire, penser, sentir.

La relation qui fait se rencontrer deux êtres complets, est fulgurance !

Je t'écoute pleinement sans aucun désir de te changer, de te tirer à moi, de te retenir dans les filets du NOUS.

Tu fais même chose avec moi.

Et là !!!!

Grand dieu ! Quel festival !

Quelle intensité !

Ça circule, ça partage, ça multiplie

Un feu d'artifice !

Sans commencement et sans fin... 

De la rose...

La rose du petit prince pourrait bien nous égarer

Et nous condamner à ce penchant si fort aux attachements morbides

Ceux qui font les regrets, les carences, les ressentiments

Alors considérons la question dans son entièreté.

« Retourne voir ta rose, elle est unique »

Le petit prince va retrouver sa rose et pour cela mourir

Mourir aux attachements, quel paradoxe !

Pour la raison seulement.

L'attachement Vivant, ne connaît ni l'amertume, ni le manque

L'autre est là, partout, en toi, surtout en toi

Si doux, si caressant, fluide d'informations

Circulation des énergies, quel bonheur !

Un bonheur sans fin, et Voir, il est aussi sans commencement

Sans cause, sans objet, il EST. 

 Internet 

Modus operandi

Cette confiance ?

Totale, absolue

Comme cette solitude

Totale, absolue.

Quelqu'un vous attend...

Je t'attendais

Non, ce n'est pas que tu étais en retard

Je t'attendais

Non, tu n'avais pas oublié.

C'était là, qui se montrait

C'était là, et je voyais

Ni tristesse, ni ressentiment

Devant ce qui était.

Acceptation ?

Non, ce n'était pas ça non plus

L'acceptation vient au bout d'une grande fatigue

D'un refus, d'une espérance déçue.

Je t'attendais... 

 

Absolu

Parce que celui-là

T'aura oubliée une fois

Et c'est des milliers de fois,

Alors qu'à chaque instant

Il est en toi

Parce que cela EST

Te voilà sauvée !