Quand tu vieillis sans jamais t'ouvrir, t'offrir
Au lâcher prise, au détachement des choses
De tes peurs superficielles et profondes.
Accroché à la branche
Tenir coûte que coûte !
Posséder, exiger, pleurer.
J'en vois plein des comme-ça
C'est terrible !
Tant qu'ils peuvent profiter
L'arrogance de ce qui profite
Sans se soucier de l'autre.
Se sentir tellement au-dessus
Tellement, tellement de mépris !
Et puis, patatras, ça vient toujours
Ce moment où cela te rattrape.
Un peu plus tard, un peu plus tôt
Cela
ne change rien
Nous ne vivons que dans l'instant présent.
Nous ne vivons que dans l'instant présent.
Là
c'est la grande dépression
C'est
ça les enfers et le purgatoire !