Les
hommes debout dans les champs
Ces
paysages, de sources, de monts
De
petits bois.
Le
brouillard, marcher, sans se presser
Marcher
d'un pas ferme et assuré
Marcher
et ne jamais arriver.
- Pourtant, nous le sommes. Paradoxe ?
Le prédateur ne sait pas détruire un écosystème
Il ne sait pas mettre à feu et à sang la planète
Il est indispensable dans la chaîne du vivant.
L'homme se conduit comme un prédateur, c'est une erreur.
Se replier, c'est ne plus entendre les signes
Vivre n'a jamais été une chose facile
Il est vrai que la modernité a fait promesse de facilité
On allait vaincre la nature pour les nourrir tous
Toujours plus nombreux
Conditionnement, par le mensonge !
Au-delà de cette fuite d'énergie
Énergie dont nous avons besoin pour plus de conscience.
C’est peut-être bien l’Homme de La Mancha