Ne l'ont-ils pas dit à la télé ?

Hé oui !!! Et encore on ne sait pas tout !

Et puis encore cette inertie des gens: "ils l'ont dit à la télé" ! Et une fois que c'est dans les têtes, que cela a bien formaté les cerveaux, la prise de conscience est quasiment impossible.

J'ai des voisins qui ne cessent de traiter, herbicides, insecticides, etc., quand j'essaie d'aborder le sujet avec eux : "Oui, je sais, mais si non on n'a rien!" Et pourtant ! le grand-père est entrain de mourir à petits feux des conséquences de ses pratiques. Mais non ! Ce qui fonctionne dans leur tête c'est :" Si non, on n'a rien!"

Et les enfants, et les générations à venir ?

Ils ne savent pas, ils ne savent plus, c’est vraiment pathétique ce renoncement à regarder les choses par soi-même, à être responsable vraiment !!! 

 

On l'a échappé belle !!!

Une chance qu'ils n'aient pas réussi à se mettre d'accord tous ces grands doctors des grandes religions monothéistes !

Une chance, je te le dis !

Déjà qu'avec un dieu unique, tout puissant, là-haut dans le ciel, qui confie sa loi à quelques uns de ses soi-disant érudits, on était mal parti !

Alors imagine s'ils s'étaient, tous les croyants, rangés derrière la même bannière, foutus, je le dis, nous serions foutus !

Mais les choses sont bien faites, que même au sein de ce qui passe pour une même église, de multiples mouvances, voir des oppositions, et des conflits : chez les chrétiens, les musulmans, les juifs, des dissidents, des extrémistes, etc.

Tu vois, les hommes ne pourront jamais s'accorder autour des croyances, et quant à l'essentiel, il est tellement silencieux !

Pas de vérité comme un point fixe, pas de dieu séparé de sa créature, pas de quoi s'opposer.

Vivant, l'infini vivant (infini = jamais fini) ne peut être saisi. Et bien sûr ne dicte aucune loi. 

Il s'appelait...

Je savais ce matin

Avec ces bulles

Je savais qu'une fois encore

Je viendrais pleurer

Derrière cette porte

Alors j'ai mis mon poing dans ma bouche

Et j'ai juste écouté le chant du monde

Vibrer du dedans

Là où il n'y a pas de frontière

Ou alors si elles existent quand même

Elles se seront effacées, comme ces traces derrière nous

Captif du temps

L'enfer comme ils en parlent

Si tu écoutes bien ce qu'ils racontent

C'est un non-lieu où le temps s'est concentré

A tel point qu'il ne s'écoule plus

Un point de pression irréductible.

Le paradis comme ils en parlent

Si tu écoutes bien ce qu'ils racontent

C'est un non-lieu où le temps s'est évaporé

A tel point qu'il n'est plus contraint

Par aucune ligne, feuille au vent.

Tout cela tu le trouves en toi

Ce sont des états de conscience

De là à penser qu'ils existent en dehors de toi

Comme quelque chose qui pourrait s'imposer à toi

Te faisant parfaitement impuissant...

Pour moi c'est ça la folie

Se vivre comme un esprit captif

Se vivre 4 murs d'une prison 

Dont on ne possèderait pas la clef

Soumis à des gardiens pervers.

Divine comédie

A celui, à ceux qui ont imaginé
Un enfer éternel pour les âmes perdues
Un manque en conscience, jamais assouvi
Jamais soulagé, en conscience
Gémir, pleurer, se tordre de douleur
Sans repos,
Supplices en punition
A ceux-là, je dis : vous êtes de grands malades
Et ceux qui vous croient, ou se laissent intimider
Le sont tout autant
Rien ne dure, tout se crée
Et créer ce décor où rien n'échappe à la damnation
C'est à éclater de rire !
Après quoi, le coup de la richesse de la culture ! 

Je peux vous parler du trou noir où toutes les douleurs
S'éteignent
Il n'y a pas de plus bas que la peur, qui fait naître ces images
En vous qui les croyez éternels.

Hans Memling

Quand les populations servent de cobayes.

Comme qui dirait le dessous des cartes, ou comment nous avons pu en arriver là.

Et la dame malade de cette exposition aux radiations, devant l'évidence, qui s'écrie : « Ce n'est pas possible, ils n'ont pas pu faire ça, ils n'ont pas pu faire ça à leur population ! »

C'est dire combien la personne humaine dans ce système est dépossédée de sa propre souveraineté, et se trouve dans l'impossibilité de reprendre les rênes de sa vie, dans le sens d'être là en soi.

Tant que nous attendrons le messie, le sauveur, il en sera ainsi, nous serons à la merci de tous les prédateurs qui ne manqueront pas de se présenter. Cette position est la plus désavantageuse qui soit. En effet la proie face à son prédateur n'a d'autre choix que de fuir mue par l'instinct, fuir devant le danger mue par l'émotion, ne devant sa vie qu'au mauvais calcul du prédateur, si cela est. Elle peut aussi tendre sa gorge, oui mais, bon... se donner à sucer au vampire c'est un autre sujet.

La folie humaine

C'est sans cesse que cela pousse les murs

Pour les rendre encore plus hermétiques

Quelques mètres plus loin.

De l'injustice

Il y a là quelque chose d'injuste

Mais la folie efface l'injustice

Ouvre encore

Et c'est amour

En soi...

Rayonnement

Entre qui veut

N'entre pas.

De la folie...

Les fous tu sais, ce ne sont pas ceux qui sont enfermés dans les asiles

Ceux-là sont malades, malades de ce monde infernal

Les fous

Ceux qui se pensent censés dans ce monde insensé

Tu sais...

Parfois je veille sur ton sommeil

En moi, je veille

Mon corps comme une montagne

Mon corps océan

Mon corps infini...

S'éclater

Aimer, bien traiter, élever

Tuer, manger

Si on ne boit pas, on ne s'amuse pas !!!

Développement... quelle belle amplitude

C'est étonnant, de parler de respect

Et qu'alors on peut manger de la viande

Sont-ils aveugles à ce point ? Sourds ?

Il serait plus honnête de dire :

Je ne veux pas me passer de viande

Je ne veux même pas y penser !

"Soigne-toi !"

La folie, là on atteint des sommets !

Ce monde en ces sociétés productrices

D'injustices, de guerres, de famines

Empoisonnement des terres et des esprits

Non-sens, incohérence, conditionnement

Qui se permet de désigner des fous et des remèdes

C'est un comble vraiment !

Oui, là je veille

Et lorsque celui-ci se présenta

Se moquant, injuriant

Prétendant détruire

Pour qu'autre chose soit

Il ne trouva que portes fermées

Car quoi ! Salir le plus beau, le plus doux !

Pauvre fou !

Justicier de pacotille

Médiseur, faiseur de méchancetés

Intelligence que cela ?

La ruse, le déguisement, la manipulation 

Intelligence ?

Non !

Démasqués, les stratagèmes sont piteuses choses

Si piteuses que c'est pitié …

Garder le fou ?

Le garde-fou ?

C'est aussi le garde-innovation

Il est fou, toujours, l'acte créateur

Celui qui tranche avec le rite

La répétition.