A la source

Tout est question d'énergie

Le sens même prend naissance

Dans l'afflux, flux et reflux.

 Sander Bos Art - Lichtgroet - Greeting of Light.

Amitola

Arc en ciel

Suspension en l’azur

L’autre pied enfoncé dans le plomb

Onde parfaite arrondissant

La frontière

Chaotique des nuages

Alan Sheers

Du transport...

Les mots c'est pas fait pour raconter des histoires
Encore que tout prenne la forme d'histoires
Alors des tristes, des gaies, des réussites, des échecs
Les mots ont un véritable pouvoir qui transcende les histoires.
 
J'ai vu cela, et le verbe est tout à fait approprié, je les ai vu
Transporter la lumière, celle qui informe directement
Que toute matière est lumière
Alors savoir avant même que la forme se manifeste. 

 Alley, Donglu Yu on ArtStation 

De l'intériorité

Aussitôt que la circulation se fait et ce n'est pas que les conditions extérieures aient changé, elles qui sont d'un réel despotique et mensonger, non ! elles n'ont pas changé ! 

Ces conditions ne changent jamais, dans le règne des apparences, des dictées, des récitations, rien ne change JAMAIS. Tout se répète à l'infini d'une continuité de causes à effets. 

Mais voici que dans cette intériorité, cela se remet à circuler...

Dans Grubug Cave / Indonesia (par Andrew JK.

C'est toujours de lumière dont il s'agit

C'est la vie qui fait cela, en toi, en moi
Et la meilleure des positions et celle du témoin
Témoin de tout cela, et d'au-delà...

Si tu peux souffrir du sentiment d'isolement
Tu peux aussi être comblé au-delà de toute espérance
Une chose en appelant une autre.

Le noir appelant le blanc
Le vide, le plein
L'humide, le sec.

C'est cela que la vie t'apprend
Si tu ne restes pas à la surface des choses
Si tu ne cèdes pas à la peur de perdre le connu.

Ph. © Serge Najjar

De la lumière blanche

Et voilà que j'avais disparue

Il n'y avait plus que la musique

Une grande pièce vide

La musique tournoyait

Par deux, elle allait

En couleurs

S'effaçant un peu plus

A chaque tour, jusqu'à …

Lumière blanche !

 AZIZA KIHELI

De la lumière

Ni tord, ni raison, je dois seulement
Me préoccuper d’être dans la juste attitude
Celle qui est de marcher vers la lumière


Encore un paradoxe
Qu’elle soit en nous et qu’il faille
Quand même aller vers elle.

Hartwig HKD

Là où tout surgit

Lorsque le peintre tire du noir

La lumière, c'est quelque chose !

Quelque chose que je connais

Peut-être vous aussi...

La lumière noire.

Isaak Levitan ,

Vincent Van Gogh

Ni une dérive, ni une erreur

Ce n'est même pas une erreur que nous aurions commise

Nous avons pris cette direction, sans choix, sans conscience

Maintenant, nous les descendants, de cette tradition

Nous sommes à même de Voir le résultat

Mais si nous nous contentons de nous frapper la poitrine

Ou encore de nous enfoncer dans le déni, ce qui revient au même

Mais oui ! La poitrine se trouve frappée du dedans

Non, ce n'est pas cela qui est attendu

Et la prise de conscience n'est pas cela non plus.

La prise de conscience permet d'entrer dans un autre niveau

D'évolution. L'homme ne mangera plus, ni viande, ni poisson

Il ne compensera pas avec des produits de remplacement

Issus de agroalimentaire, de la chimie, et autres techniques

Il se nourrira de plus en plus simplement, toujours plus près

De se nourrir de l'information, du grain de riz, du grain de blé

Ceux qui survivront au désastre écologique annoncé 

Se nourriront de lumière 

Tout simplement.

La lumière intérieure

C'est la haine qui poursuit
Jamais l'amour.


Tu l'as dit : "la relation est au-delà de nos peurs, de nos attentes"
Et cela ne cesse de se vérifier !!!


C'est bien en cet espace qui n'est pas
Que je te rejoins...


Où ça ?
En moi...

Et transformation se fait...

Regarde comme les formes sont transparentes

Évanescentes, regarde la poterie fêlée

A laissé un raie de lumière passer

Et de l'intérieur ce rayon a tout touché.

Au coeur du message, la lumière dans les mots...

J'ai toujours lu, de cette drôle de manière

En diagonale, percevoir la lumière qui se dégage

Ou pas...

Quelques bribes d'une histoire qui se dessine

Qui déjà s'efface

C'est vrai, je ne lis pas vraiment.

En diagonale comme la ligne

Qui traverse cette maison...

Faut dire que j'ai appris à lire

D'une bien curieuse façon

Melle Guillemin, chaque matin

Pendant...26 jours

Cela me parut durer des mois et des mois

Chaque matin, la maîtresse avait dessiné

Au tableau noir, une lettre toute blanche

Une nouvelle chaque jour

Et je t'assure, que c'était un voyage à chaque fois

Et la rigolade quand ce fut au tour du Q.

Alors me faire le reproche de cela !

C'est comme si, je te faisais le reproche

De cet emballage, en inadéquation totale

Avec le contenu !

Fallait bien en parler de cet emballage naze

Pour toucher au cœur le message...

Du partage, de la lumière

Ça courait partout, ruissellement

C'était des notes, des touches

Des éclats de lumière

Un tapis, une voûte céleste

La profondeur d'un univers

Jamais fini, infinie

Ivresse.

Tu comprends, le partage

Comble à la mesure de cet infini

Jamais fini

Il n'y a que la division

Pour produire la jalousie

L'envie, le manque

La peur et le rejet.

Bruissement de voiles

Le voile blanc s'est coloré

Des rouges, des verts, des bleus

Couleur terres, et la lune et le soleil

Dans la brise ils volent papillons légers.

De la magie

Des interdits qui avaient été déposés-là

Que ça faisait des reproches, et encore des jugements

Me suis retournée, juste un instant...

Disparus !

Clarté d'un jour sans fin

Bien sûr le soleil ira se baigner dans l'océan.

Si profond

Toi, tu n'es pas là

Le vide de toi

Et pourtant, regarde comme c'est beau !

Oh lumière si belle

Là où était attendue la pluie

Un coup de vent pousse les nuages

Le soleil étincelant.

Erotique

L'effet lumineux

Sous-jacent depuis si longtemps

Depuis toujours, peut-être

Avait besoin afin de se révéler sans dommage

De se manifester dans le prétexte de l’altérité

Une altérité ni trop, ni pas assez, incarnée

Ce fut fait ainsi, en tellement d'intensité.

Le dernier acte, c'est aussi le premier

Regarde-les ils vont en territoires conquis

Et leurs conquêtes, les étouffent, les retiennent

La forme qui ne cesse de changer

Il la retienne encore, ne percevant rien de la lumière

Au cœur de la matière.

En vérité en tes mots, je ne perçois que la lumière

Si bien que je peux l'affirmer c'est intention

Tu étais debout sur le fil de l'intention

J'y étais aussi

C'est là, en moi, pour toute éternité

C'est donc en tout point.

De ton sourire

Ce qui n'est pas de ce monde
Et qui s'accueille, en un sourire
Lumière intérieur.
 
Pourquoi ont-il peur de toi ?