vendredi 15 juin 2018

De cet amour...

Ce serait comme aimer une femme
Et en maltraiter une autre
Ce n'est pas possible !

Enfin cela se fait, je le sais
Mais ce n'est pas amour.

Celui qui Aime une femme
Les respecte toutes. 



Ce que raison ne veut pas croire...

Le problème ce n'est pas la multitude
Le problème n'est pas de nourrir les foules
Il est d'apprendre que de lumière nous pouvons nous nourrir. 



 Image internet 

La chose faite

Il y a sur cette terre des hommes qui s’arrogent des droits
Sur les autres hommes, femmes et enfants
Sur les animaux, les plantes
Sur tout ce qui bouge et ne bouge pas
Il faut bien choisir son camp
Par ses actions, ses pensées, ses désirs
Décider d'être des leurs ou de ne l'être pas.

Pour ma part, je n'ai pas eu à choisir
Je n'ai jamais fait parti de ce monde-là
Juste le temps de comprendre que cette réalité existe
Bien la Voir dans ses rouages, dans ses mensonges
Dans ses exactions 
C'est chose faite.



jeudi 14 juin 2018

Des nécessités engendrées par le vivant

Oui c'est vrai, l'enfant voulait marcher seule
Elle refusait de donner la main
Alors ils se sont cachés !
Lui faire peur, lui donner la leçon.

Si petite encore !

Elle ne voulait pas aller seule, toute seule
Non ! Seulement marcher sans donner la main
Quand elle s'est retournée qu'elle ne les a pas vus
Quelle panique ! Eux cela les a fait bien rire... 

Mais celle-là avec sa super sensibilité
Blessée à tout jamais... alors sans choix
Absolue nécessité de comprendre, de faire l'expérience
De sa propre complétude.

Le faire ou mourir !!!



Internet

En plein coeur

J'ai pris en plein cœur
La souffrance de là-bas
Où à les écouter
Personne ne vit !

Oui, c'est ça
Comme la viande qu'ils mangent
Sans rien reconnaître de la vache et de son veau
Du mouton et de l'agneau... 

Et l'autre qui est ma sœur de dire
« On n'est même plus en France ! »
Tout ça en plein cœur !



L'éternel vivant

La vague monte et descend
Mais jamais, jamais l'océan ne disparaît
Tu comprends ?

Même dans les grandes marées
Qui dévoilent des plages à perte de vue
Les galops des chevaux de mer. 

Même dans le tsunami
Qui emporte très loin les eaux
En fracas elles reviennent !



 PASSAGE DU GOIS AU CREPUSCULE - Photographie de Jacques Loïc

mercredi 13 juin 2018

Ces délicieux moments...

Ne sois pas si pressé
Quand je vais commencer à te parler
Te parler vraiment...
Tu vas suffoquer
Je suis intarissable
C'est terrible !

Et puis ces délicieux moments...

Celui où le jasmin, que "l'autre" voulait abattre
Qu'on a dit « NON ! », se met à fleurir
Comme jamais il ne l'avait fait
Et à l'aube, et au crépuscule
Son parfum !

Encore les petits chats
Les derniers arrivés
Même pas frères, les jetés à la rue
Par des gens bien sûr
Qu'ils ne sont pas sauvages
Qui viennent ensemble pour un câlin.