lundi 30 septembre 2024

De la nécessité

 

Le monde va mal, où trouver la force de continuer
A avancer dans ce champ de bataille ?

Il n'y a aucune force pour cela
Juste la nécessité qui bientôt prendra fin.
 

 

 



dimanche 29 septembre 2024

Du monde ...


Les vrais sentiments
Ceux qui partent des tripes
Ce creux dans le ventre
Le tien, le mien
Celui de la terre !

Aucune pudeur ne peut les cacher
Aucune honte les ternir
Ces sentiments, pure émotion.

Et ça vous fait le chant des gitans
Le chant de ceux qui voyagent tel le vent
Si doux, si rude, sans détour.


Maya Kokocinski Molero 




Sans frontières...

 

Sans frontières
Je le sens frémir ton lac
Même quand ta bouche est cousue
Et que la mienne parle trop.

 

 
Magali Cazo
 

L'absolue nécessité du changement

 

Quand la question de l'argent passe au premier plan
Peur de manquer, alors qu'il ne s'agit que de superflu
Alors que l'humain se trouve engagé dans une transformation
Profonde, de sa manière de se nourrir, plus de de viande
Plus de matière transformée par l’agroalimentaire
Se nourrir directement de prana, niveau énergétique de l'information
Quand l'homme passe à côté de ce qui se propose à lui
Liberté, paix, rayonnement, toujours plus léger
Ce sont les enfers qui s'ouvrent sous ses pieds.
 
 
 

 

samedi 28 septembre 2024

De la forêt

 

La solitude de la forêt
La forêt !
Pas ces groupement d'arbres exploités
Alignés, calibrés, non !
La forêt.

Bruissante de bêtes, de sèves
Des racines, jusqu'à la canopée
Si vivante !
Alors tu comprends la solitude
Celle qui est mienne est la même.

Parfois, elle gémit de tant de douleurs
Parfois, elle chante, ronronne
Cette solitude, de cette naissance à la mort
Elle est mienne.


 
Peter Lindel
 

Là, juste en face de la maison... Plaine des grègues


Là, juste en face de la maison
Échancrure de la roche qui par temps de pluie se fait cascade.

Plus tard, s’il pleut encore
L’eau vient jusqu’au petit pont.


Plus loin, dans un autre creux de cette montagne
La forêt de la reine des glaces.

Endroit étonnant, de cryptomérias plantés
Où je ne mets plus les pieds
Y ayant rencontré méchant homme
Qui élève là-bas des « coqs batailles ».

Il a menacé de tirer au fusil le Noiraud
Qui allait sa vie de chien dans le coteau.


 


La facilité ?

Il n'y a pas de facilité
Il n'y a que du laisser-aller
De la paresse, du dispersement
Du contentement
Comme si rien d'important n'existait
Comme si tout allait de soi
Comme si... nous ne vivions pas
Vraiment, entraînant toujours plus
Le monde et les jeunes générations
Dans la désolation.

Des signes, des preuves ?
Ces hommes politiques dans leurs discours
D'un niveau toujours plus bas
Animés par des instincts pervertis
Car l'instinct chez le penseur n'est qu'un prétexte
Et voter sans choix, donner pouvoir à ces charlatans !